1. le verre de trop


    Datte: 10/01/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... titre elle était un danger et je voulais lui reprendre mon fils. Dans son œil de fureur je vis tout le mépris qu’elle avait pour lui.
    
    Conservant mon sang froid, je lui représentais qu’elle-même perdait son temps. Son union avec mon fils ne lui apporterait que des désagréments. De toute façon ne méritait-elle pas mieux que mon fils puisqu'elle le méprisait. Mes arguments durent lui paraître limpides car son regard était devenu perçant. Je voyais bien que mes raisons s'imprimaient dans son esprit. Elle perdait sur le fond. Elle voulu se ratt****r sur la forme. Soudain, elle se lança. « Je vous ai toujours préféré à votre nigaud de fils et vous m'avez toujours évité ». Je ne m'attendais pas à cette répartie. Cela me rendit furieux.
    
    Laissant mon flegme, je lui balançais à mon tour la circonstance ancienne où elle m'avait été présenté par un ami. Elle marquât de la stupeur puis éclatât de rire. Attendant qu’elle se calmât je vidais ma coupe. Je considérais trop tard que j’avais trop bu ou plutôt qu'il avait été imprudent de mélanger bière et champagne. En même temps je regrettais trop tard de lui avoir fait cette révélation qui n'avançait guère mon affaire. Ayant recouvré son calme elle me dit boudeuse : « Bref vous m'avez considéré comme une pute dès le premier jour. » Mon silence dut paraître acquiescement.
    
    Par quelqu'effet comique elle partit dans une diatribe où elle voulait justifier sa vie. Elle avait toujours aimé faire la fête associé pour elle au luxe, au ...
    ... brillant, à l'alcool et aux hommes. Mon fils ne cochant là aucune case. Avec un ton boudeur et de sincérité, elle déplora certains de ses agissements qu'on pouvait à bon droit estimer de la prostitution. Elle voulait s'affranchir de cette nécessité. Elle rêvait d'être riche et autonome pour pouvoir se ranger. Elle semblait entrer dans mes raisons. Je pouvais croire triompher. Pourtant je vis encore une lueur a****le allumer son œil noir.
    
    Jamais le démon ne renonçait en elle. Là encore elle sembla poser une dernière condition avant la reddition. « Puis-je vous demander une dernière faveur ? « Je compris avec appréhension que ce serait quelque chose de sordide et de scabreux. Ma bru avait toujours eu le don de la sortie théâtrale.
    
    Soudain je sentis la pression sur ma cheville de son pied qu’elle avait extirpé de l'escarpin. Tous yeux brillants, elle me dit : « N'as-tu pas envie de t'amuser ? Cela me ferait plaisir. Tu me dois bien çà. » Se tournant vers le patron du bar, elle m'assura qu'il valait mieux sauver les apparences ici .
    
    Bref elle m'invitait que nous sortions et allions ailleurs qu'ici. J'étais tout chaud bouillant perclus d’alcool. J'aspirais au grand air et à sa fraîcheur. Je payais. Elle me tirât par le bras m’arborant aux yeux de tous comme un gros poisson qui allait la baiser dans un coin. Elle faisait toutes sortes de mimiques dont des œillades alentour. C'était au-delà du vulgaire. Décidément il fallait au plus vite que je débarrassas mon fils de cette catin. ...
«12...567...»