1. Essais de résistance à la chaleur


    Datte: 10/01/2019, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail profélève, dispute, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Lizbeth, Source: Revebebe

    ... volontaires alors que sa chemise tombait au sol. L’odeur du sang me vint au nez. Il saignait pas mal, en fait. Je m’en foutais. Il m’excitait encore davantage.
    
    Sans se démonter, il dégrafa mon jean et plongea sa main droite dans ma culotte. J’étais trempée et il l’avait remarqué. Il eut un nouveau grognement et emporta ma bouche, mordant ma lèvre inférieure.
    
    — Fourre-moi tes doigts, arrête d’hésiter, tranchai-je.
    
    Je crois que ce furent trois doigts qui me pénétrèrent, pendant que sa bouche dévorait toujours la mienne et que sa main gauche écartait mes cuisses. J’étais offerte, et grande ouverte.
    
    Je me libérai soudain de son étreinte. J’évacuai tous les papiers de la table centrale d’un revers de bras. Paperasse et bouquins tombèrent par terre, à l’envers ou à l’endroit. Je finis par le repousser jusqu’à ce que ses fesses heurtent le bureau. Aucune hésitation : je baissai son pantalon et son caleçon jusqu’à ses genoux, et avalai sa queue.
    
    — Ah, nom de Dieu, laissa-t-il échapper.
    
    Je ne sais plus vraiment si j’avais déjà essayé d’imaginer son sexe. Je crois que c’était surtout la place que j’imaginais qu’il prendrait dans mon vagin qui m’intéressait. Il était assez long. Et large. Large surtout à la base. Peu importe. Il remplissait ma bouche. Je le suçai un moment, mouillant comme une folle, pensant, à chaque fois que mes lèvres gobaient son gland, au moment où cette queue serait dans ma chatte.
    
    — Nom de Dieu, répéta-t-il. Arrête-toi.
    
    Il me hissa vers ...
    ... lui et ouvrit ma chatte sur son sexe, puis me pénétra violemment. Sa langue possédait ma bouche avec tout autant d’autorité. Ses jambes tremblaient. Que ce fut par sa faute ou par la mienne, nous nous écroulâmes au sol, parmi les feuilles de papier et je m’empalai à nouveau sur lui. Il était en nage. J’avais gardé mon chemisier. J’ôtai tout, et jetai les vêtements quelque part au milieu des objets qui jonchaient le sol.
    
    — Qu’est-ce que j’avais envie que tu me baises, lançai-je en m’appuyant sur sa poitrine. Le sang avait séché.
    
    Comme une furie, j’allais l’obliger à me donner tout ce qu’il avait. C’était sans compter sur le fait que, lui aussi, avait des envies. Il me fit passer sous lui et se retira. Son baiser, à ce moment-là, fut presque tendre. De ses doigts, il caressa mon sexe bouillant, et s’attarda plus à l’arrière. Quand il commença à pénétrer mon entrée la plus étroite, son baiser semblait surtout là pour me faire taire. Il ne savait pas que j’adorais ça. J’hurlais littéralement en lui. Je tremblais. Je convulsais à chaque allée et venue. Mes yeux arrachaient les siens. Je me tus. Je n’avais aucune idée du nombre d’orgasmes qu’il m’avait donnés. Au bout d’un moment, sa main à plat entre mes seins, il finit par m’offrir, lui aussi, une série d’exclamations très mâles, puis s’écroula sur moi.
    
    Son souffle semblait irrécupérable. Je sentais son cœur cogner contre ma poitrine. Je n’en menais pas large non plus.
    
    Philippe finit par rouler sur le dos. Des papiers ...
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