Le Souper
Datte: 10/01/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
profélève,
voiture,
Oral
pénétratio,
jeu,
aliments,
init,
Humour
Auteur: Brigitte de L., Source: Revebebe
... Didier devine que son bienfaiteur ira tenter sa chance, mais, tempes déjà grisonnantes, elles verront bien qu’il est depuis longtemps dessalé. Une seule certitude : il n’était pas le client précédent et Didier préfère d’ailleurs ignorer son identité.
Je vais à l’office, attrape une immense serviette, une petite cuillère, ouvre le frigo et prends un échantillon de chaque yaourt : nature, sucré, au chocolat et aux divers fruits. Complètement excitée par cette narration, j’éteins toutes les lumières sauf une très douce, me déshabille en cinq sec, m’allonge sur le grand tapis, place la serviette en alèse et lui laisse le choix. Il décide de commencer par nature et j’en badigeonne ma toison, ma vulve et en introduis même une cuillerée dans mon vagin. Le froid calme même un peu ce feu qui me brûle.
Là, je bénéficie d’un Didier déchaîné, qui me broute, lèche, tête, suçote, gobe, polit, suce, comme jamais il ne l’a fait. Nous essayons avec tous les parfums, passons en 69 où il m’ensauce copieusement la bouche, mais ne débande pas. Voilà quatre ans qu’il n’était pas resté au garde-à-vous après avoir giclé.
Je pensais que, l’adolescence s’éloignant, cette performance lui échappait, mais non, c’est encore possible. C’était après mon premier accouchement, j’avais dû m’abstenir de pénétration à la fin de ma grossesse et après trois mois de régime pipe, – je ne supporte pas l’irrumation – il avait besoin d’action véritable. Devant tous deux rattraper un retard certain dans les ...
... chevauchées fantastiques, notre nuit fut blanche.
Pour profiter de l’aubaine, je m’allonge et ramène mes jambes vers mes épaules. Parents, faites faire de la danse classique à vos filles, elles vous en remercieront durant toute leur vie de femme et leur mari deviendra accro aux sensations données par une musculature pelvienne bien contrôlée. Pour lui donner le maximum de plaisir et repousser l’aboutissement, j’alterne relâchements et pressions de mon fourreau sur l’épée de mon chevalier. Essayez !
Il me prend exactement à la bonne profondeur, alliant puissance et attention comme il sait le faire et me fait crier et monter haut, très haut et à plusieurs reprises. Nous éclatons dans un parfait ensemble, connaissant les signes précurseurs chez l’autre et sachant désormais nous synchroniser à la fraction de seconde près. Je ramène mes cuisses pour que nos corps soient en contact total et nous restons ainsi de très longues minutes, plus unis que jamais par cette confidence.
Soudain, je réalise avoir mal choisi l’endroit, le salon étant assez proche des chambres des employées. Si, malgré l’isolation phonique poussée, elles ont entendu, elles savent désormais quel amant est mon mari et pourraient essayer de le tenter. Mais tant pis, c’était une superbe partie de jambes en l’air et s’il vient à offrir un bon moment à une de ces deux adorables jeunes femmes, c’est qu’elles en ont besoin et je sais qu’il en restera toujours assez pour moi : au fond, je n’ai pas à craindre leur ...