Agnès et Jean : ils vont au bout de leur fantasme...
Datte: 09/01/2019,
Catégories:
fh,
couplus,
extracon,
pénétratio,
entrecoup,
Auteur: Ruomatrio69, Source: Revebebe
... qu’elle s’occupait de me retirer mon pantalon. Étonné, je laisse, car je ne suis pas dans un état qui le justifie…
Lorsqu’elle tira sur le bas de mon pantalon pour me l’ôter, mon caleçon vint avec, et là, je me retrouvai la queue à l’air fièrement dressée devant ses yeux exorbités.
Elle resta un long moment à fixer mon sexe. Moi je restais inerte, à sa merci, en silence. Elle se retourna pour quitter la chambre. Arrivée à la porte, elle éteignit la lumière puis en un clin d’œil, elle se mit à poil.
Je pouvais admirer son corps splendide grâce à l’éclairage du palier. C’est la première fois que je la voyais nue, bien gaulée, pas grande, mais bien proportionnée, sa chatte de brune bien fournie, mais entretenue. Elle rampa sur le lit, une main posée sur son sexe, puis elle m’enjamba, prit mon sexe dans ses mains, le secoua de gauche à droite, et murmura :
— Oh, comme elle est grosse ta queue, elle m’a fait envie toute la soirée. Et tu t’es régalé à me la faire sentir.
— Tu en as souvent redemandé, je ne te savais pas si gourmande de ces choses-là
Puis joignant le geste à la parole, elle s’accroupit au-dessus de mon bas-ventre, fit glisser mon gland entre les lèvres charnues de sa vulve luisante de mouille couleur rose bonbon et s’empala doucement sur mon sexe, en gémissant de plaisir, se laissant doucement glisser sur toute la longueur de mon membre. Elle stoppa un instant en me répétant « Je te sens bien », comme pour prendre la mesure de mon sexe, puis se mit à ...
... faire des va-et-vient langoureux.
Je pouvais sentir la douceur de son fourreau, chaud et humide, enserrer mon sexe, j’avais du mal à croire que j’étais en train de baiser la femme de mon ami, mais je la laissai faire, j’étais trop bien et en plus j’adorais ça. Elle accéléra la cadence, poussant un cri à chaque fois que ma queue percutait le fond de sa matrice. Cela me sembla durer une éternité puis elle se cabra : l’orgasme la submergea tel un tsunami, elle hurla son plaisir la bouche grande ouverte, les yeux mi-clos.
— Oh oui, c’est bon, cria-t-elle.
Une abondante émission de cyprine me trempa les bourses. Cette vision provoqua ma propre jouissance, j’inondai copieusement le fourreau étroit d’Agnès, en beuglant comme un veau. Mon foutre a jailli de ma queue, en tapissant de vagues crémeuses les parois de son vagin. Agnès explosa à nouveau :
— Oh oui, inonde-moi, ta queue est trop bonne.
Elle m’embrassa tendrement en allant au bout de sa jouissance puis finit par se désemmancher de ma queue qui bandait encore :
— Rassure-toi, je lui offrirai ma chatounette, bonne nuit. Et elle me quitta pour rejoindre son lit en voyant bien ko.
Sous l’emprise de l’alcool et de la fatigue, je sombrai dans une profonde extase mélangée à un certain trouble. Ma femme était cocue…
Le sommeil ne vint pas et une envie de vider ma vessie se fait sentir. C’est au radar que je rejoignis les w.c. en silence et dans le noir.
En sortant, une lumière m’indiqua la direction de la ...