1. Alicia et son papa (2)


    Datte: 09/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Je passai une nuit difficile à revivre ce qui s’était déroulé en soirée, et surtout à essayer de me projeter dans le futur. Avec cette question : maman avait-elle été malheureuse ? Papa la dominait, la battait, et pourtant j’avais gardé l’image d’un couple uni, un père solide, une mère épanouie. Peut-être appréciait-elle de vivre sous la coupe de son mari, de lui être soumise jusqu’à accepter de souffrir pour lui.
    
    Restait à savoir si j’en étais capable. Je ressemblais à ma mère physiquement, cela ne voulait pas dire que je supporterais de vivre sous le joug, d’être battue sans raison hormis le plaisir paternel, d’être sodomisée aussi. J’avais vu la gigantesque verge de papa, j’étais sûre qu’elle me déchirerait tellement elle était épaisse. Jamais je n’avais autorisé un de mes petits amis à pénétrer cet orifice ; je trouvais cet acte bestial, contre nature, dégradant… et sûrement douloureux, aussi.
    
    Seulement, voilà. Je ne pensais pas que papa accepterait que je me pointe nue dans la cuisine, puis que je lui refuse mon petit cul. Son deal, c’était tout ou rien. Accepter tout me faisait peur, et n’accepter rien me semblait inconcevable. Il avait besoin de moi pour combler son vide affectif. J’étais assez honnête pour reconnaître que de mon côté j’avais besoin de lui. Ce même si cela revenait à briser les tabous qui entouraient l’inceste, et me donner à celui qui m’avait donné la vie.
    
    Mais ce n’était pas évident de changer aussi abruptement, de passer d’ado libérée à ...
    ... compagne docile. Je tournais et retournais le problème sans trouver la réponse.
    
    Papa m’avait dit que je pouvais me caresser et jouir toute la nuit. Allongée dans le noir, je passai la main sous mon short de pyjama, glissai deux doigts sur ma fente. Mes lèvres intimes étaient humides, je plongeai les premières phalanges dans mon vagin trempé. Pas de doute, mes cogitations m’avaient profondément troublée et excitée. Pourtant je stoppai net mes attouchements.que je trouvais soudain sans saveur tant j’étais indécise. J’ai glissé lentement dans le sommeil, sans m’en rendre compte.
    
    Le radio-réveil s’est déclenché à 7 heures ;c’était vendredi matin, et comme toutes les journées de travail je devais être au magasin à 9 heures. Je me ruai sous la douche pour éviter de penser à papa qui m’attendait dans la cuisine. C’est en sortant de la salle d’eau que j’ai pris ma décision. Au lieu d’aller m’habiller dans ma chambre, j’ai pris le couloir, une serviette de bain nouée sur mes seins. Je me suis arrêtée quand j’ai vu mon père assis à table, une tasse de café à la main. Ses yeux gris me fixaient, plissée et durs. Sans rien dire, j’ai tiré sur les pans de la serviette qui est tombée sur le carrelage. J’étais nue.
    
    — J’avais dit « nue et à quatre pattes ». Tu es trop conne pour comprendre un ordre simple ?
    
    — Pardon.
    
    Je me laissai glisser au sol, les oreilles brûlantes de honte. J’avais oublié ce détail, en effet, et il me le rappelait d’une manière cruelle.
    
    — Passe sous la ...
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