La grosse surprise de Mme Stroke (12)
Datte: 08/01/2019,
Catégories:
Transexuels
Auteur: bgp, Source: Xstory
... sans qu’elle n’ait eu d’effort à faire, que je jouis également, déversant mon sperme sur ses abdominaux saillants. Je me tiens droit le temps d’être inondé par le plaisir, puis je m’écroule en avant et ma tête vient se caler entre ses seins. Pendant que je reprends mon souffle, la géante caresse mes cheveux du bout des doigts et sourit.
— Je ne pensais pas de transformer en une experte geisha aussi rapidement. Tu es vraiment doué ! Tellement que je ne veux plus te partager. Ton petit cul sera à moi pour toujours !
Je me redresse en gardant le pénis de ma belle au plus profond de mon être, et les yeux plein de larmes de joie, je réponds à ma protectrice.
— Oui Maîtresse, c’est que je veux aussi. Mon corps est votre pour toujours.
Sasha se redresse, entraînant son buste et le mien en position verticale. Nos bouches se font face et nous nous embrassons avec passion. Mes mains caressent son cou et se perdent dans ses beaux cheveux noirs. Mes jambes viennent se nouer autour de sa taille. Elle me tient contre elle d’un seul bras, pendant qu’elle se sert de l’autre pour faire pivoter son corps et poser ses pieds au sol. Tout en continuant à nous embrasser comme des adolescents fougueux, elle se lève en me tenant fermement contre elle. Sa main libre vient se coller sous mes fesses. Je suis toujours empaler sur son pieux qui ne faiblit pas. Plus en forme que jamais, la géante recommence à me besogner les fesses. Dans les miroirs, je les vois rebondir sur son pubis à ...
... chacun de ses vigoureux coups de rein. Je me sens comme une balle de bilboquet qu’une adroite amazone enfile systématiquement. Par la seule force de sa main sous mes petites fesses, elle monte et descend mon corps chétif. Je sens le sperme de son premier orgasme s’écouler abondamment de ma chatte, comme pour laisser la place à la nouvelle cuvée qui ne saurait tarder. Je me laisse faire, prenant tellement de plaisir à me sentir faible et léger dans les bras de cette furie qui doit fonctionner à l’énergie nucléaire pour être aussi vigoureuse et endurante. Elle fait quelques pas pour me coller le dos au mur et être plus libre de me sodomiser encore plus sauvagement. Je sens le crépi me labourer le dos à chaque fois qu’elle me percute. Je dénoue mes jambes pour les écarter et faciliter le travail de son marteau piqueur dans mon fondement. Par dessus son épaule sur laquelle j’ai posé mon menton, je vois le reflet de mes fines chevilles et mes mollets plus minces que ses bras, tressauter à chaque coup de boutoir. J’ai mal mais ce n’est pas grave, mon corps est son jouet. Je laisse courir mes mains sur son large dos, sentant ses puissants muscles rouler sous sa peau comme s’ils avaient leur propre vie. Mon corps gigotent comme celui d’un pantin désarticulé sous les impulsions de la musculeuse déesse. Ses mains viennent ensuite enserrer ma taille et la belle fait quelques pas pour nous éloigner du mur. Alors que mes fines jambes reposent encore sur ses larges hanches, elle m’agite sur son ...