Histoire de famille, d'amitié et d'amour (7) - Histoires de Sexe

Histoire de famille, d'amitié et d'amour (7)

Résumé : ce matin Laure a parlé de son réveillon de noël à Joanne, sa meilleure amie. Elle lui a dit qu’elle sortait avec sa mère et moi, et que je l’ai dépucelée. Elle a proposé à Joanne, d’être elle aussi dépucelée par moi, et d’aller me voir le soir après les cours pour en parler.

Mercredi soir

Après les cours, elles partent ensemble chez moi. Joanne est un peu angoissée. Elle me connaît un peu, nous nous sommes déjà croisés, mais la situation est assez spéciale. Elle n’a toujours pas décidé si elle va accepter que je la dépucelle ou pas.

Elles arrivent devant chez moi. Laure frappe et m’entend lui dire d’entrer.

— Coucou mon amour, lui dis-je, sans me rendre compte qu’elle était accompagnée.

J’arrive à l’entrée et vois Laure avec Joanne.

— Je ne savais pas que tu serais accompagnée, lui dis-je.

— Oui, je ne te n’ai pas prévenu. Ça t’embête ? Me répond-elle un peu gênée.

— Non, non t’inquiète. Bien au contraire.

Joanne se demande pourquoi je dis « bien au contraire ». Mais elle le devine.

— Joanne est au courant pour nous trois, me dit Laure. Donc on peut se faire un bisou.

Elle s’approche de moi, me prend dans ces bras, et nous nous embrassons.

— Ça fait trop drôle de vous voir vous embrasser, mais je suis heureuse pour toi Laure, dit Joanne.

— Tu vois Philippe, c’est pour ça que c’est ma meilleure amie, ajoute Laure avec un petit sourire.

— Alors tu seras toujours la bienvenue ici, dis-je à Joanne.

— Merci, c’est gentil, me ...

... dit-elle avec un petit sourire.

— Au fait, Laure, j’ai quelque chose pour toi,

Je prends une petite boîte et la tends à Laure, qui l’ouvre.

— Une clé ?? dit-elle, étonnée.

— Comme ici c’est aussi chez toi, j’ai fait un double pour toi de notre appart, à ta mère et moi, lui dis-je. Et quand tu viens tu n’as pas besoin de frapper. N’oublie jamais que tu es chez toi.

— Hooo, merci mon amour ! ! Hier, quand maman m’a dit que la maison où l’on vit actuellement, n’était plus sa maison, mais que pour elle, c’était ici chez elle, je ne comprenais pas. Maintenant je comprends et j’ai aussi cette sensation. Merci à vous deux de m’avoir intégrée dans votre couple. Depuis hier, j’ai l’impression de vivre un rêve.

— Tu sais, tu n’es pas la seule. Pour ta mère et moi c’est la même chose. Nous n’avons jamais été aussi heureux.

— Aujourd’hui j’ai trop pensé à nous trois. Je me disais que nous sommes comme une famille. Tu sors avec moi, donc maman c’est ta belle-mère, et comme tu sors avec maman, tu es mon beau-père.

— C’est ce que nous nous disions aussi avec ta mère ce matin au téléphone ! A la différence que ta mère a dit que j’étais comme ton père.

— J’aurais aimé que mon père biologique ça soit toi.

— Tu pourras m’appeler papa si tu veux.

— Je ne sais pas trop, car ça va faire trop drôle, vu que papa c’est pour mon père biologique.

— Appelle moi comme tu veux, du moment qu’on s’aime.

— Houaaaaa, je ne pensais pas que votre amour était si fort, s’écrit ...