L’arroseur arrosé (1): mais quel plaisir de se faire arroser ainsi - Histoires de Sexe

L’arroseur arrosé (1): mais quel plaisir de se faire arroser ainsi

... fait me retourner. Une fois en place j’ai devant les yeux son énorme bitte bien raide qui me donne plein d’envies, j’en salive. Il vient derrière moi me donne une fessée et écarte mon cul en disant à sa femme sur un ton énervé:

« Tu as voulu me tromper avec cette tafiole! Pour te punir tu vas devoir lui bouffer le cul, il parait que les tarlouze adore ça. »

Puis il enfonce la tête de sa femme entre mes globes fessiers.

Sa langue balaye le long de ma raie, je sens immédiatement mon oeillet réagir et s’ouvrir doucement. Alors que Titi la bourre de plus en plus sauvagement, son mari l’encourage par des:

« C’est bien ma salope! Continue comme ça! »

Sa langue s’arrête sur mon petit trou et tourne sur ma rondelle. Elle est tellement douée que ça ne peut pas être son premier anulingus.

« Enfonce ta langue dans son cul! »

Lui ordonne son mari, immédiatement je sens ma rondelle se dilater alors qu’elle me sodomise avec la bouche. Sa langue va et vient en moi, je bande comme un fou, j’ai envie de me branler mais apparement je dois suivre les instructions de Thomas alors je me retiens. Je profite des caresses buccales que je reçois surtout qu’il l’oblige à aller encore plus profondément en moi pour mon plus grand bonheur.

Je tourne la tête pour voir Catherine se faire prendre vigoureusement mais aussi admirer les proportions, hors normes, du membre de son mari. J’ai de plus en plus envie de sentir cette queue dans ma bouche, la cajoler avec mes lèvres et ma ...

... langue… Mais au bout de quelques minutes, celui que sa femme qualifie d’anti-pd, attrape sa femme par les cheveux pour qu’elle quitte mon postérieur.

Ce n’est qu’en le voyant venir derrière moi que je remarque qu’il a mis une capote et moins de 30 secondes plus tard je sens son mat me perforer les entrailles. Alors que Catherine se fait sodomiser à coter de moi par Titi, son mari coulisse dans ma gaine anale qui s’ouvre doucement, mais aussi un peu douloureusement. Son sexe est tellement énorme que j’ai l’impression qu’il va me déchirer le cul en deux.

Quand ses couilles viennent taper les miennes, je suis halluciné qu’il soit entièrement rentré mais aussi rassuré qu’il puisse pas aller plus loin. Je souffle pur me décontracter et m’habituer à son diamètre mais il le voit pas de la même façon que moi. Il m’attrape par le cheveux, tire ma tête en arrière et me saillit comme un animal en me disant, au rythme de ses coups de bite:

« Ma pute de femme t’a bien lubrifié, je peux te montrer comment on défonce une pédale comme toi. »

Il me défonce sans ménagement, j’ai l’impression d’être écartelé. Je crois que demain je vais avoir du mal a m’assoir, tant il me pénètre profondément. J’ai la sensation d’être totalement rempli, j’adore sentir ses couilles venir taper les miennes. La douleur disparait totalement et laisse place à un plaisir intense. Quand Catherine me décrivait la brutalité de son homme je la plaignais maintenant je la jalouse.

Baigné dans une marré de ...