1. Logement provisoire : Sylvie (1)


    Datte: 07/01/2019, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... j’aimerais que vous preniez ce temps. Pour vous. Et pour nous.
    
    Vos mots semblent la toucher et lorsque vous posez votre main sur son bras, il vous semble qu’elle frissonne. Elle finit par accepter votre invitation. Au café, vous la débarrassez de sa veste puis tirez sa chaise. Vous voyez dans ses yeux que vous marquez des points.
    
    Ses yeux justement : marrons mais clairs, ils mériteraient d’être mis en valeur par d’autres lunettes que ces affreuses montures et par un peu de maquillage. Il en est de même pour sa peau. Tout en discutant, vous vous mettez à fantasmer sur cette large bouche aux lèvres épaisses. Vous la verriez bien avec plusieurs bites dans la bouche, tiens ! Vous êtes sûr qu’elle pourrait sans problèmes en prendre trois belles queues en bouche simultanément. Mais pour l’heure, vous vous dites que ses lèvres seraient très agréables autour d’une seule barre, celle qui durcit dans votre pantalon.
    
    Et ce n’est pas la poitrine de Sylvie qui va calmer vos ardeurs. Sylvie a des seins énormes, cela ne fait aucun doute, même si sa poitrine semble tombante. Alors certes, elle porte un pullover fin, peu avenant, mais celui-ci a l’avantage d’être entièrement blanc et le ...
    ... soutien-gorge de mauvaise qualité qu’elle porte laisse pointer des tétons de belle taille. Vous vous contenez mais ne parvenez pas à réfréner 100% de vos coups d’œil. Vous passez près d’une heure avec votre voisine qui n’avait pas le temps. Elle sursaute soudain :
    
    — Mon Dieu ! Il est déjà 11h ! Comme le temps passe vite !
    
    — Cela m’a fait énormément plaisir de passer cette heure avec vous, Sylvie.
    
    Elle rougit et balbutie :
    
    — Moi aussi. Je... C’était un plaisir.
    
    Vous sentez qu’elle est désormais pressée. Vous vous levez, tirez une nouvelle fois sa chaise, l’aidez à remettre sa veste.
    
    Vous la raccompagnez jusqu’à sa voiture. Au moment de vous quittez, elle dit :
    
    — Je pense que nous pourrions nous tutoyer.
    
    Vous sentez immédiatement le trouble chez votre voisine. Cela semble signifier quelque chose d’important pour elle. Sa froideur initiale vous revient à l’esprit. Votre café a peut-être initié quelque chose. Vous acceptez et faites la bise à Sylvie.
    
    Deux jours plus tard, lorsque vous croisez Sylvie, elle a à nouveau la tête des mauvais jours, mais elle fait l’effort de vous saluer avec un sourire. Vous n’êtes néanmoins pas dupe et cela vous rend un peu curieux. 
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