La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1307)
Datte: 07/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... le véhicule. Walter se dirige vers soumise Keira MDE sans attendre.
- C’est toi qui va avoir l’honneur de voyager aux pieds du Maître, allons prends tes affaires et suis-moi.
Sans attendre, la jeune femme obéit, se saisissant de sa robe et descendant de l’autocar pour s’agenouiller immédiatement devant le Noble qui attend près de Sa voiture. Walter fait signe au bus qui prend la route, sortant doucement du domaine Ce bus est conduit par un esclave mâle qui travaillait il y a encore peu de temps dans une grande société d’autocars internationale et qui a quitté son travail pour rester auprès du Maître 24h/24 au Château. Monsieur Le Marquis pose son regard sur Keira MDE et remarque sans peine que l’entrejambe de la jeune femme est très humide, à la vue de sa cyprine qui dégouline doucement le long de ses cuisses.
- Déjà excitée chienne ! Le fait de t’empaler sur ton siège aurait-il réveillé en toi certains désirs ?
- Oui Maître, répond-t-elle presque honteuse.
- Parfait, ...
... parfait. Laurent, si tu veux profiter d’elle avant qu’on ne se dise au revoir, son cul réclame, sourit Le Noble à son ami.
Le Commandant sourit, la relève en tirant sur sa queue de cheval et la plaque contre le capot de la voiture. Sans plus de préambule, il sort sa verge déjà dressée de sa braguette et il l’encule d’un geste et d’une puissante poussée d’un magistral coup de reins viril, s’enfonçant dans ses entrailles avec délice. La jeune femme ne dit rien, mais sent rapidement son excitation monter, se concentrant pour bloquer la jouissance qui pourrait venir. Laurent ne fait preuve d’aucune tendresse, ses gestes sont bestiaux, voir même violents, utilisant la jeune femme comme un vulgaire trou, comme un simple vide-couilles. Après quelques minutes, il éjacule dans un râle bestial, inondant le cul de la jeune femme de sa semence sortie en jets saccadés. Puis il se retire, la laissant sur le capot, non sans caresser son fessier avec tendresse pour lui dire au revoir...
(A suivre …)