1. Magnifique rencontre


    Datte: 07/01/2019, Catégories: fh, hplusag, inconnu, ascenseur, Oral préservati, pénétratio, occasion, Auteur: Maelys, Source: Revebebe

    ... presque violent. J’aime ça.
    
    Il va-et-vient en moi, profondément, lentement, puis de plus en plus vite. Nous ne pouvons empêcher que la table cogne contre le mur. C’est excitant, mais cela semble inquiéter Jean-Marc. Il se cambre et je le sens éjaculer. Il s’incline sur moi, me baise les épaules et me caresse le sein gauche de sa main.
    
    Il se retire de moi.
    
    Alors que je me dirige vers le tas de vêtements au pied de la table, Jean-Marc me retient.
    
    — Non, tu n’as pas joui. Installe-toi sur la table.
    
    Je m’assieds dessus et écarte les cuisses.
    
    Il approche sa bouche. Mais je n’en suis plus là !
    
    — Non ! Tes doigts, s’il te plaît !
    
    Il fait pénétrer deux doigts et me masturbe vigoureusement. Cela aurait pu être délicieux. Malheureusement cela était trop beau et je vois un homme d’une trentaine d’années surgir derrière Jean-Marc.
    
    Je pousse un petit cri de frayeur. D’un coup je serre les cuisses et Jean-Marc se relève, faisant face à cet homme.
    
    — Hé bien, c’est du joli ! dit cet homme en me regardant d’un regard brillant.
    
    Une main sur les seins, l’autre entre mes cuisses, je me sens honteuse et vulnérable.
    
    — Bon, soyez gentil, laissez-nous tranquilles qu’on se rhabille, dit Jean-Marc
    — Vous ne me semblez pas en mesure de me dire ce que je dois faire. J’habite ici et pas vous. Ce que vous faites est puni par la loi, vous savez, dit l’homme absorbé par ma poitrine que j’ai bien du mal à dissimuler.
    — Cela ne vous donne pas tous les droits.
    — ...
    ... Peut-être le droit d’admirer cette belle femme se rhabiller, puisqu’elle a tout montré dans un lieu public.
    
    Je suis morte de trouille. J’imagine finir au commissariat et me retrouver en train de devoir me justifier devant ma hiérarchie ensuite. Fonctionnaire, un délit risquerait d’entraîner ma suspension, peut-être pire.
    
    — Bon, dégagez et appelez la police si ça vous chante. Si vous restez là, je vous casse la gueule et cela fera deux motifs de l’appeler.
    
    Jean-Marc eut sans doute l’air convaincant. L’homme ricanant tourna les talons et remonta rapidement l’escalier.
    
    Nous nous sommes dépêchés de nous rhabiller et nous sommes sortis de l’immeuble à toute vitesse.
    
    Dans la rue, Jean-Marc avait l’air désolé.
    
    — Je suis navré, Maelys.
    — Je suis plus coupable que toi.
    — En plus tu n’as pas pris de plaisir.
    — Si, plus que tu ne le crois. Et puis, si tu es dans le même café demain soir, tu auras l’occasion de terminer ce que tu as commencé !
    — Tu sais, j’ai adoré ce moment, mais je me sens coupable. J’aime ma femme et je ne pensais vraiment pas en t’abordant…
    — Je sais et c’est pour ça que je t’ai voulu. Tu sais où me trouver demain soir si tu veux malgré tout me retrouver. C’est toi qui choisis. Ensuite je repartirai dans ma lointaine campagne…
    — Je ne sais pas…
    — À demain peut-être…
    
    Il s’est éloigné et je suis rentrée à l’hôtel, en attendant demain.
    
    Je l’ai attendu le lendemain, après la journée de formation durant laquelle j’avais la tête ailleurs.
    
    Il n’est ...