1. Les expériences d'Aurélie


    Datte: 06/01/2019, Catégories: ff, fffh, fbi, grossexe, hotel, Transexuels Oral préservati, pénétratio, double, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... ne tardèrent pas à monter. Je tombai rapidement sur une page d’un site d’information qui mentionnait ma fuite et le fait que j’étais recherché. Je commençai attentivement la lecture. C’était évidemment n’importe quoi ! À en croire les dix malheureuses lignes, j’étais vraiment l’ennemi public numéro un, responsable de kidnapping, de torture, mais aussi de divers vols à main armée (tu parles, ma seule arme avait été la bazoukoline…) commis avec l’aide de deux jeunes femmes. Et une vieille photo de moi qu’ils avaient trouvée je ne sais où (peut-être à mon boulot) accompagnait l’article dégueulasse. Remarque, celui qui me reconnaîtrait sur cette pauvre photo pourrait sans doute postuler directement au FBI…
    
    − Hmmm ! Ouais, vas-y, suce-moi, bien profond ! Et mets-moi un doigt en même temps ! Hmmmm !
    
    Aurélie ne se sentait plus… J’éteignis l’ordi et commençai à essayer de réfléchir. Il fallait absolument qu’on réussisse à prendre l’avion le lendemain à 14h25. On avait déjà de faux passeports, il allait sans doute nous falloir aussi de nouvelles tronches. Enfin en tout cas à moi, les filles on les reconnaîtrait sans doute pas.
    
    − Rrrhhhhaaa, hmmmm, ouiiii, lèche-moi la chatte pendant qu’Azura suce ma grosse bite… Aaaahhhh !
    
    Elle était presque vulgaire, Aurélie. Ça devait être depuis qu’elle avait des couilles…
    
    Bon, vu qu’il était capable de greffer des bites, Bazouk saurait sans doute changer un peu mon apparence. La transformation de ma compagne me donna une idée : je ...
    ... pourrais peut-être me métamorphoser en nana… Mais j’écartai rapidement l’idée ; c’était trop dangereux, et j’avais pas envie de rester une gonzesse toute ma vie si Bazouk ne parvenait pas à inverser ses sorts.
    
    Aux gémissements d’Aurélie se mêla la voix plaintive d’Azura, qui sans doute être en train de se faire défoncer par l’hermaphrodite. Ah là là ! d’un autre côté, malgré moi, ça m’excitait quand même drôlement…
    
    Bon, donc on changerait d’allure, avec les faux passeports, ça suffirait sans doute. Et il y avait l’histoire des billets ; c’était hors de question qu’on se sépare de notre sac qui contenait tous les billets, mais pour embarquer avec un bagage à main, il fallait le faire passer au détecteur où les douaniers verraient nécessairement que le sac était plein de fric. Où il était, d’ailleurs, ce sac ?
    
    − Gufti ? Tu as des capotes ?
    
    Oh, elle me saoulait !
    
    − Non, désolé.
    
    Ah, là, dans un coin du salon, avec les sacs de fringues. Si les filles les avaient déplacés, c’était peut-être qu’elles avaient trouvé une solution.
    
    Pandore se mit à couiner à son tour dans la pièce voisine. Je n’essayai même pas d’imaginer dans quelle position tordue les filles s’étaient foutues. J’ouvris le sac dans lequel j’avais rangé tout le fric et me figeai de surprise, il ne contenait plus un seul billet, mais des fringues. Où est-ce qu’elles les avaient foutus ? J’ouvris les autres sacs, qui étaient également remplis de vêtements.
    
    La voix d’Aurélie s’éleva encore :
    
    − ...
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