1. Le harem de famille (1)


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: canis, Source: Xstory

    Nous sommes en 1984 ; j’ai alors 23 ans, et ma copine Sophie, juste 20 ans, nous nous sommes mariés l’an suivant et avons décidé d’avoir un enfant.
    
    Nous avons essayé, une année durant, d’enfanter sans succès, et en période ovulatoire ; pas plus. Nous avons même examiné mon sperme au microscope et aussi sa cyprine ; rien d’anormal. Nous avons également observé la première fission d’un ovule fécondé par un de mes nombreux spermatozoïdes ; mais après tant d’échecs, une consultation s’imposait ; elle chez une gynéco, et moi, chez une sexologue se prénommant Rachel, belle, jeune célibataire de 30 ans. Après une consultation riche en examens de toutes natures, prélèvements et analyses approfondies de ma semence, rien n’est venu ternir mon image d’étalon, et Rachel me demanda le rapport des analyses de Sophie lors de la prochaine consultation.
    
    La fois suivante, Rachel me demanda un autre échantillon de sperme :
    
    — Je ne vais pas y arriver tout seul, il n’y a pas une fille pour m’aider ?
    
    Elle s’approcha de moi de sa démarche souple et féline, plongea ses yeux émeraude aux longs cils dans les miens, et posa sa main sur mon sexe. Sous son contact, le phallus se dressa impérialement, la veine palpitante gorgée de sang durcissant la verge. Sa bouche à la chaleur douce et humide, aux lèvres charnues ne mit que cinq minutes pour me mener au point de non-retour les testicules gros comme des mandarines, et durs comme de la pierre, à la peau du scrotum tendue, et au moment de ...
    ... l’éjaculation extrême, elle se retira et présenta devant mon méat, un petit flacon que je remplis de foutre qui déborda sur ses doigts, tranquillement, elle lécha sa main, un petit sourire en coin. J’avais envie de la prendre sur place, mais je ne suis pas un violeur. Elle me laissa tomber pour aller analyser mon sperme dans le petit labo à côté de son cabinet.
    
    De retour, dans la salle d’examen, elle me trouva encore à poil le pal tendu, elle comprit qu’elle ne pouvait pas me laisser comme cela, mon gland violacé ne demandait qu’une chose, vomir le trop-plein de sperme resté en route, sa bouche s’enroula autour de mon gland turgescent et cramoisi pour une fellation divine, vidant complètement les couilles.
    
    Rachel soignait des troubles érectiles chez l’homme, et de frigidités chez les femmes, et autres problèmes sexuels, mais pas les maladies vénériennes, elle m’assura de surcroît que j’étais le premier patient en parfaite santé qu’elle suçait dans son cabinet.
    
    J’étais son dernier client de la journée, elle me dit simplement que si j’en voulais encore plus demain, elle finissait à 19 h et après... mais il ne fallait pas oublier ma femme qui demanderait de la queue aussi ce soir, essayer une énième fois de copuler pour enfanter. Avec Rachel, nous avons couché quatre fois ensemble en l’espace de 10 jours, juste une heure ou deux, pour ne pas éveiller les soupçons de Sophie, je voulais lui dire avant qu’elle le découvre.
    
    Il m’est venu une idée, je ne savais pas trop ...
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