1. Retour à terre


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Anal Hardcore, Auteur: Svetlana1980, Source: xHamster

    ... complètement quitté, et je sens son regard affamé peser de plus en plus sur moi. Nous décidons de prendre une chambre, en souvenir du bon vieux temps.
    
    « Quel dommage que tu n’aies pas avec toi cette fameuse machine… »
    
    Mon regard se pose sur sa béquille alors que nous sautons sur le lit.
    
    « C’est moins perfectionné que le jouet de ton nouvel amant… Mais ça a l’air de te faire envie tout de même ! Je vois que tu n’as pas tout à fait changé… »
    
    Edward me saute dessus. Il m’avait manqué… Je retire mes vêtements et les siens presque dans un seul geste, et me jette sur sa queue. Je m’en rappelle précisément sa forme, et ses moindres détails. Des souvenirs m’assaillent alors que je la prends dans ma bouche, et qu’elle remplit tout l’espace, presque à m’en faire suffoquer. C’est un souvenir profond qui me remplit. Il gémit, et je sais qu’il pense la même chose. Nous nous sommes souvent affrontés, mais toujours retrouvés. Il tire sur mes jambes et je me retrouve allongée à ses côtés, son membre toujours dans ma bouche. Il écarte mes cuisses, viens en fouiller l’intérieur d’un doigt, puis de deux. Puis il s’empare de sa béquille en équilibre au bord du lit. Il en caresse mon intimité ; le bois est lisse, son contact me fait trembler. Il titille l’entrée puis l’enfonce carrément en moi, et effectue des va-et-vient. C’est bon ! Je me sens presque comme écartelée, Edward tient mes cuisses très écartées et profite du spectacle que je lui offre. Ma bouche est toujours emplie de ...
    ... lui, je pousse des cris inintelligibles, mais il sait que ça me plaît. La canne rentre en moi et sa surface lisse frotte en même temps mon clitoris, le brûle et le masse, je jouis ! Mais je sais que ça ne lui suffit pas… Il se redresse et vient m’empaler de sa propre queue cette fois, puis nous fait tourner pour que je sois au-dessus de lui. Je suis en nage, mais je ne veux pas que ça s’arrête. Il a gardé la béquille en main, et je sens son extrémité frôler mon petit trou. Il effectue de petits cercles autour, comme pour le préparer, et l’insère lentement. Je sens le contraste du bois lisse et de son membre chaud et palpitant ; mon corps déjà éprouvé est au bout de ses forces, mais j’en veux plus. Il me chuchote des insanités à l’oreille, me traite de tous les noms, et ça ne fait qu’augmenter mon plaisir. Je ne peux me retenir de jouir une deuxième fois, plus fort, plus profondément. Mes jambes tremblent, mon intimité est en feu. Il n’en a pas encore fini. Il continue de me parle tout bas à l’oreille.
    
    « Tu sais pour Carmen ? J’aurais dû te le dire il y a longtemps. Mais tellement d’événements sont survenus… C’est moi qui l’avais amenée sur le Phoebus. »
    
    « Toi mais… pourquoi ? »
    
    « Ça m’avait rendu fou de vous voir ensemble, cette nuit-là sur l’île. Et puis une fois que je l’ai eue cachée dans la cale, je me suis dit qu’il faudrait que j’en profite un peu, moi aussi… Seulement elle n’avait pas grand goût pour les hommes, à ce qu’il paraît. Elle m’a résisté quelque temps, ...