1. Réveillon, cotillons, la suite...


    Datte: 06/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe Inceste / Tabou Mature, Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... et aspirais…
    
    Il s’enfonça dans ma gorge…
    
    - Oh ! Je…
    
    - Chut, débrouille-toi…
    
    Alors il voulut se venger, ayant failli tout déballer…
    
    Rater son premier virage, couler une bielle…
    
    Mais non, tout rentra dans l’ordre…
    
    Je n’osais plus le toucher, je lui laissais le temps…
    
    Il glissa ses doigts dans mon antre… Nos lèvres se joignirent…
    
    Le baiser était magique et les étoiles venaient briller en cette matinée superbe…
    
    Il sentait bon, un parfum de classe, un parfum d’homme…
    
    Il était sur moi, lentement il massait mes seins, ses doigts découvrirent ma vallée…
    
    Son sexe retrouva son fourreau, j’ouvris mes lèvres, et me fis douce…
    
    Il débusqua mon bouton d’amour, l’effleura, tournoya, souleva…
    
    Je sentis mon heure proche…
    
    J’étais à lui depuis longtemps… Et comme un pantin, il me tordit, me retourna et me suça en levrette, chatte et anus confondus, humidifiés, salivés…
    
    Je me mis à gémir, feuler, lui dire des mots tendres, l’inviter à ne plus attendre…
    
    La tête dans l’oreiller, je griffais les draps, il aspira mes entrailles, suça mes petites lèvres, puis mes grandes ailes, en les étirant, puis il revint dans mon calice, et récolta le suc qui s’écoulait, salivait, mouillait, recommençait…
    
    Je pleurais comme une minette, les sens en émoi, tremblante de désir…
    
    Je sentis le membre tout contre moi… Il suivit la vallée, ouvrant mon sexe, et glissa de quelques millimètres…
    
    Je délirais… J’étais si trempée et si excitée que mon vagin s’ouvrit, ...
    ... libérant un flot d’amour…
    
    Il n’eut plus qu’à pousser lentement…
    
    - Oh ! Oui ! Viens !...
    
    Le cri résonna, déchira le silence, se répercuta dans les autres pièces…
    
    Je le sentais glisser…
    
    Je jouissais sans détour, sans honte, sans arrêt…
    
    Et il poussa, un grand coup de rein, lui non plus ne pouvait plus attendre et il me lutina !
    
    Il me défonça, jusqu’au bout du bout, planté comme un pieu dans mes entrailles…
    
    Lorsqu’il se retira, je poussais un cri de hyène, un cri de désespoir, en manque…
    
    Alors il m’étreignit ; puis m’emporta, tel un marteau piqueur, tapant mon pubis, je sentais son dard perforer mon vagin, crever ma chair si tendre, arracher ma vulve, me faire jouir…
    
    Oui, je jouissais, encore et encore et plus encore, jusqu’à fulminer mon plaisir, écartelée, ouverte, pantelante, les seins ballants, les yeux révulsés…
    
    Il me reprit encore, de nouveau, en levrette, en capitaine de navire, me tenant par les genoux et pilotant son dard dans mes entrailles, jusqu’à ce que je perde l’équilibre et que le bateau chavire…
    
    Sur le côté, échoué, la raie à l’air, il me reprit… En ciseau, il me baisa, j’atteignis le comble du plaisir, sentir son membre, ses doigts dans ma chatte, puis un doigt s’insinua dans l’anus et je perdis la notion des choses…
    
    Il me posséda encore et encore…
    
    J’eus des orgasmes magiques, des envolées lyriques, et je sentis son bâton me prendre par derrière et je jouis encore, relevant mes fesses comme une catin, aimant me faire ...
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