Parenthèse
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
grossexe,
vacances,
magasin,
chaussures,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
fist,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Charlie st-trudin, Source: Revebebe
... lèvres. Il remua un peu l’embauchoir qui me perforait la chatte. Le flot de mouille ne tarda pas à me couler le long des cuisses.
— Tu es à point.
Il se remit debout et me releva. Je lui tournais toujours le dos. J’avais toujours l’embauchoir coincé au fond de mon con. Il me força à me retourner et fit glisser les bretelles de ma robe, qui tomba à terre. Il la ramassa, la respira, et la posa sur un rayon derrière lui. J’étais en escarpins, totalement nue, remplie d’un objet dont je n’avais jamais imaginé, auparavant, qu’il puisse servir au plaisir sexuel. Je m’offrais à lui. Et je voulais qu’il me prenne vite, avant que la douleur qui me perçait le bas-ventre ne devienne insoutenable. Pas la douleur liée à la présence de l’embauchoir dans ma chatte. La douleur liée au besoin de me faire défoncer la chatte sans plus attendre.
Je mis les mains sur sa ceinture, j’attendais presque qu’il me repousse, tant il avait été patient jusqu’à présent. Il m’encouragea d’un hochement de tête. Je continuai donc. Je défis sa ceinture, fis sauter les boutons de son jean et descendre celui-ci sur ses hanches. J’avais hâte de voir sa queue, hâte de la toucher. Je commençais à croire qu’il avait un problème, tant il avait été timide. N’importe quel mec m’aurait prise bien avant. Lui, semblait hésitant à me montrer son vit. Je mis un doigt dans l’élastique de son caleçon, distendu par le désir, autant que ma chatte l’était par l’embauchoir. Et je le fis glisser.
Je compris alors ...
... pourquoi il avait besoin d’un embauchoir. Je compris pourquoi il m’avait ouvert la chatte ainsi, avant de me montrer sa queue. Je compris que ses étranges préliminaires étaient nécessaires. Je compris sa quasi timidité.
Sa queue était anormale. Il était d’une taille moyenne, ni gros ni maigre, mais sa queue était anormalement énorme. Tout à mon étonnement, je le regardai enfin. Il eut un sourire penaud, comme s’il s’excusait d’être affublé d’un tel sexe.
— Prends-la entre tes mains…
Je ne me fis pas prier. Je mis mes deux mains sur ce chibre au diamètre incroyable. Je ne parvenais pas à fermer ma main sur sa queue, elle était trop large. Elle n’était pas très longue, mais je ne réussissais pas en faire le tour entre mon index et mon pouce. Je n’en revenais pas.
Je me mis à genoux et, comme pour m’assurer que je ne rêvais pas, je mis ma bouche autour de son gland. J’avais de la peine à l’entourer entièrement avec mes lèvres. Impossible de me l’enfoncer dans la bouche, elle était trop grosse.
— Tu as peur ?
Oh que oui, j’avais peur. S’il savait à quel point j’avais peur !
Il pensait que j’avais peur d’avoir mal, que j’avais peur qu’elle me déchire la chatte.
Il avait tout faux.
J’avais peur de prendre trop de plaisir à m’empaler sur cette queue large et nervurée. J’avais peur de ne plus pouvoir être satisfaite désormais en l’absence d’un tel calibre, si je l’essayais.
Il était encore temps de rentrer chez moi.
J’avais peur car tout ceci n’était qu’un ...