1. Soirée torride pour mon mari


    Datte: 05/01/2019, Catégories: fh, couple, cadeau, parking, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral pénétratio, confession, Auteur: Danielle, Source: Revebebe

    ... amants. Pas trop grosse non plus, mais suffisamment pour remplir ma bouche. Je gémis comme une folle. Sa queue est belle et vigoureuse, je me mets à la sucer.
    
    Je suis déchaînée, j’ai envie de boire son sperme. Ma bouche monte et descend le long de sa queue rapidement, je salive abondamment. Lui aussi gémit, me caresse les cheveux mais ne m’impose pas de le prendre plus profondément, j’ai horreur qu’un homme appuie sur ma tête pendant que je le fellationne.
    
    — Oh oui, c’est divin, tu suces merveilleusement, que c’est bon, oh ouiiiiiiiiiiiii…
    — Mhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, mhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
    
    Je ne peux rien dire d’autre, j’ai la bouche pleine.
    
    Je le lèche sur toute sa surface, tantôt doucement, tantôt avidement. Je prends à nouveau la tête de son sexe dans ma bouche, ma langue embrassant doucement le bout de sa queue. Mes mains ne restent pas inactives et lui caressent les testicules, assez gros et que j’espère bien remplis.
    
    Je veux uniquement le sucer mais je ne peux attendre, surtout sur le parking. Tout en le suçant, ma main droite le branle tout aussi énergiquement, j’attends la décharge avec impatience.
    
    J’essaie de le prendre plus profondément, mais impossible, alors ma main redouble d’intensité. Je sens qu’il gonfle dans ma bouche, je le sors de ma bouche pour un dernier coup de langue autour du gland puis l’enfonce à nouveau dans ma bouche.
    
    — Ohhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
    
    Mais je sens qu’il essaie de se ...
    ... contrôler.
    
    — Laisse-toi aller, ne te retiens pas, dis-je avant de reprendre la tête en bouche, en donnant de fameux coups de langue et en le branlant fortement.
    
    Je gémis de plus en plus, j’attends l’explosion. Il essaie de se retenir aussi longtemps que possible, en voulant faire durer le plaisir, mais ma bouche et ma langue veulent qu’il crache sa semence. Aux soubresauts de sa queue, l’éminence de la délivrance est proche. Un dernier coup de poignet, une dernière lèche, un dernier coup de langue, et :
    
    — Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…
    
    Il déverse une grande quantité de sperme dans ma bouche, du sperme épais, un rien salé, onctueux dont je me délecte. J’avale au fur et à mesure pour éviter d’étouffer et d’en renverser sur son pantalon et sur le siège de ma voiture.
    
    Lorsque son sexe devient tout mou, je me redresse et regarde autour de moi, pas de curieux, pas de gens offusqués, pas de policiers, rien. Pas de panique, personne n’aura rien vu.
    
    À côté de moi, un homme enchanté, les yeux brillants, le souffle court, respirant comme un sprinter, mais comblé et qui n’en croit toujours pas ses yeux. Il ouvre la bouche mais aucun son n’en sort.
    
    — Le resto tient toujours, j’ai faim moi. L’apéritif était plutôt salé, dis-je d’un ton très naturel, comme si rien ne venait de se passer.
    — Tu es merveilleuse…
    — Je sais, dis-je en l’interrompant.
    — Tu es vraiment merveilleuse, bien sûr nous allons au restaurant.
    — Et après tu m’emmènes à ...
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