1. Soirée torride pour mon mari


    Datte: 05/01/2019, Catégories: fh, couple, cadeau, parking, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral pénétratio, confession, Auteur: Danielle, Source: Revebebe

    ... spectacle, offrez-moi un café pendant que j’écouterai vos bêtises.
    
    Il ne dit rien, ne commente pas ma dernière phrase.
    
    Une fois assis, il me raconte sa vie, ses aventures, puis le fameux jour où il est venu s’entretenir avec mon patron, le jour où il m’a vue, rencontrée et où il est tombé sous le charme.
    
    — Il y avait beaucoup de feuilles mortes ? dis-je assez amusée.
    — Quelles feuilles ? Feuilles mortes ? Pourquoi des feuilles mortes ? dit-il complètement éberlué, ne comprenant vraiment pas de quoi je parle.
    — Ben oui, quand vous êtes tombé ! S’il y avait un tapis de feuilles mortes, cela fait moins mal ! dis-je avec grand sérieux, tout en essayant de ne pas éclater de rire.
    — Mais de quoi parlez-vous ? dit-il, ses yeux remplis de points d’interrogation.
    — Ben, vous êtes tombé sous l’arbre ? continué-je avec sérieux.
    — Qui ? Moi ? L’arbre ? Quel arbre ? (et d’ajouter ): Quand ?
    
    Là, c’est certain, je l’ai déstabilisé, il en a perdu le fil de ses idées, il est complètement perdu.
    
    — Ben oui, en me moquant un petit peu, quand vous êtes tombé sous le charme, vous savez, l’arbre, ça aurait pu être un bouleau, un chêne, un arbre quoi !
    
    Si je ne me pince pas, je suis morte de rire, contente de mon effet, j’en ferais même pipi dans ma culotte. Qu’est-ce que je jubile, je n’en reviens pas de l’avoir tourné en dérision. Il me parle sérieusement de lui, de moi, du jour de la rencontre, et tout ce que je trouve à dire, c’est qu’il aurait pu se faire mal en tombant ...
    ... sous un arbre. Je suis quand même un peu vache, non ?
    
    Cette fois, c’est lui le poisson hors de l’eau, sa bouche reste ouverte, ses yeux sont ronds, il ne peut plus rien dire, mais je vois que son cerveau travaille.
    
    Et pour la seconde fois en moins de quinze minutes, il me sidère à nouveau par son audace et sa réaction.
    
    Il vient de comprendre, son sourire s’élargit, ses yeux pétillent, il rit et en même temps dit :
    
    — Tu es merveilleuse.
    
    Alors que ses deux mains viennent enserrer mon visage, il se penche et m’embrasse sur la bouche. Cette fois, c’est moi qui suis surprise, les yeux écarquillés, la bouche entrouverte.
    
    Il en profite donc pour y introduire sa langue, mais miracle, à la place d’un beefsteak inquisiteur qui serait venu envahir ma bouche, ce n’est que le bout de sa langue qui joue avec mes lèvres. J’en reste sidérée.
    
    Au même moment, deux réactions se dessinent devant mes yeux, soit je le gifle et m’en vais, soit je prolonge le baiser. Son baiser est doux et suave, pas un baiser lourd, baveux, ni forcé. J’aime sa façon d’embrasser. Je fonds, mon Dieu que m’arrive-t-il ? Un frisson parcourt ma colonne vertébrale, mon slip se mouille, mes seins se durcissent, ma langue pénètre sa bouche et c’est moi qui l’embrasse.
    
    — Paie les cafés et suis-moi, lui dis-je en me séparant de sa bouche.
    
    Je viens de le tutoyer, il ne bronche pas.
    
    Je me lève, je n’en crois pas mes yeux, je viens de l’inviter à me suivre. Je deviens folle ou quoi. Non, mon corps a ...
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