1. Soirée torride pour mon mari


    Datte: 05/01/2019, Catégories: fh, couple, cadeau, parking, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme facial, Oral pénétratio, confession, Auteur: Danielle, Source: Revebebe

    ... matière et surtout de confort, mais cela peu d’hommes le comprennent, dommage pour eux.
    
    Il y en a même un qui m’a demandé d’essayer le modèle avec slip ouvert à l’entrejambe et soutien ouvert aux mamelons. J’ai refusé, le lendemain j’étais « larguée » ! Pour une fois que ce n’était pas moi qui larguais ! Pas grave… je ne me suis pas sentie plus mal pour autant.
    
    Puis un jour, mon patron me demande de recevoir un client, une grosse affaire, mais rien de sexuel. Uniquement professionnel : dossier, chiffres, statistiques, réservation pour eux deux dans un restaurant de réputation et réservation d’un hôtel pour le client. Bref, le « business » normal.
    
    Un homme séduisant, grand, brun, aux allures sportives, agréable à regarder se présente quelques jours plus tard au secrétariat et demande mon patron. N’étant pas, à ce moment-là, en chasse, je ne remarque que le client important à recevoir de façon professionnelle et pas l’homme, viril, le mâle qui pourrait assouvir mon besoin de tendresse et de caresses. Le soir avant de quitter la société, ils reviennent ensemble, disparaissent dans le bureau du patron puis se séparent. Mon patron m’appelle et je lui donne le compte-rendu de l’après-midi puis je quitte la société. Pour moi, le client est déjà loin, mais surprise, il est dehors, sur le parking et m’attend.
    
    — Bonsoir, je ne vous avais pas remerciée, me dit-il.
    — Me remercier, de quoi ? Pourquoi ?
    
    Pas inquiète, mais surprise quand même, pourquoi m’attend-il ? Juste ...
    ... pour me dire « merci » ? Étrange.
    
    — Pour votre professionnalisme.
    
    Je me dis que là, il me drague, un client ne remercie jamais une secrétaire.
    
    — Merci, mais je n’ai fait que mon travail.
    
    À ce moment-là, je réalise qu’il regarde mes jambes. Je porte un tailleur clair et un collant brun clair, soyeux aux reflets satinés, pas très opaque, mais pas transparent non plus. Le confort est très agréable, la texture du collant donne une sensation assez excitante à mes jambes et, pour mon propre plaisir, je le porte sans slip, ce qui accentue cette excitation au niveau de mon sexe. Je ne dirais pas que je suis excitée, mais ma chatte est un rien humide, mon petit plaisir solitaire.
    
    — Pourriez-vous me déposer à l’hôtel ? me demande-t-il.
    — Heuu, oui, d’accord, dis-je, totalement prise de surprise. Où sont vos bagages ? dis-je, ayant repris le contrôle de moi-même
    — Je n’ai pas grand chose, juste mon PC et un « baise-en-ville ». Oupsss, pardon, s’empresse-t-il d’ajouter, je ne voulais pas vous heurter. C’est juste une valisette pour une ou deux nuits, ajoute-t-il en essayant de rattraper sa bourde.
    — Pas de tracas, je sais ce qu’est un « baise-en-ville ».
    
    Ses sacs dans le coffre, il m’ouvre la porte de ma voiture et, d’un geste noble de la main, m’invite à m’asseoir. Évidemment toutes les astuces sont bonnes pour se rincer l’œil.
    
    Afin de ne pas le décevoir, je prends le temps pour m’asseoir derrière le volant et écarte, plus que de coutume, les jambes en faisant ...
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