Ordinateur complice
Datte: 05/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Allbazar, Source: xHamster
Nous étions au mois de mai ce mois où la nature se réveille enfin, où le soleil devient plus chaud et plus lumineux, où les filles, heureuses d’abandonnées enfin leurs vêtements d'hiver, optent pour des tenues légères qui pour le plus grand bonheur des hommes, laissent apparaître, soit le début d'une gorge blanche, soit un mollet nerveux ou par intermittence une cuisse fuselée.
En ce samedi matin, profitant de ce début de Week-end j’avais décidé de m'occuper à diverses tâches dans l'appartement, tandis que Martine ma femme se préparait pour ce rendre à son rendez-vous chez le coiffeur, comme elle le faisait une fois par mois. Soudain la sonnerie de la porte d'entrée résonnant subitement nous fit sursauter tous les deux. Plus véloce que moi mon épouse s’empressa d’aller ouvrir. Tout en continuant mes retouches de peinture je tendais une oreille attentive, curieux de savoir qui pouvait nous rendre visite en ce samedi matin.
-- Michèle ! Quel hasard ?
Michèle était notre voisine de pallier avec laquelle nous avions vite sympathisé. C'était une femme d'une quarantaine d'année, tout en rondeur sans pourtant être vraiment grosse : ce que l'on pouvait appeler une femme bien en chair. Une femme qui aurait pu servir de modèle au peintre Rubens, qui aimait les femmes dodues. Elle possédait un visage rond d’une extrême délicatesse, que sa coiffure mi-longue atténuait quelque peu la rotondité. Ce qui m’avait immédiatement frappé chez elle dès que je l’avais rencontré, c’était ...
... l’air terriblement sensuel qui se dégageait de toute sa personne. Ses yeux noisette légèrement étirés et pétillant de malice, son nez aux narines palpitantes et ses lèvres gonflées, gourmandes, lui donnaient un air terriblement sensuel que son sourire engageant ne faisait que renforcer. Ses corsages aux manches courtes dénudaient ses bras potelés mais qui paraissaient malgré tout assez fermes ; ce qui laissait pressentir des cuisses de même nature, grasses, solides et musclées. Ce type de cuisses qui lorsqu’elles vous enserrent les reins dans une étreinte amoureuse doivent vous immobiliser si fermement qu’il vous est impossible de vous retirer du ventre dans lequel vous vous seriez fourvoyé... Ces mêmes corsages, au décolleté toujours affriolant, laissaient deviner une poitrine opulente, massive et dont on devinait que leur propriétaire était fière de montrer ; une poitrine aux seins abondants, entre lesquels il m’arrivait de rêver d’y faire glisser mon membre gonflé. Comme beaucoup d’hommes j’avais toujours été attiré par les femmes aux lourdes poitrines, même si celle que j’avais épousée était le contraire de mes fantasmes…
Les jupes toujours assez courtes, dont se vêtait Michèle, se plaquaient sur ses hanches larges et forts arrondies, les dessinant avec précision et accentuant à l’extrême les courbes d’une croupe épanouie. Une croupe à l’image de sa poitrine, opulente et charnue. Michèle était ce genre de femme que tout homme rêve de posséder une fois dans son lit, mais ...