L'Equipe XII
Datte: 04/01/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: IwaoHarada, Source: Hds
... bras derrière ma tête. Que j'étais bien, que je me sentais bien là à sa merci. Mon grand roux s'arrêta net et sans un mot il pressa un doigt contre l'intérieur de ma cuisse, me faisant regarder... Je ne pu qu'y apercevoir ce que j'avais complètement zappé, oublié, le sperme qui avait perlé hors de moi avait formé un sillage le long de ma cuisse, s'arrêtant là, séchant doucement. Je me sentais gêné et en même temps fier, après tout, c'était de sa faute. Steves me surpris à nouveau car il adopta un ton jouette, presque enfantin, me questionnant sur ce que c'était, d'où cela pouvait-il provenir, qui en était responsable, si cela faisait mal et bien plus... Il se mit alors à remonter la piste, à chercher l'origine, du bout des doigts, du bout de la langue. Il me fit rouler sur le ventre, joua a écarter et resserrer mes fesses tout en continuant à me questionner sur ce ton de gamin curieux... Ce jeu coquin me plaisait, me faisait rire et sentir bien et je m'y abandonnais pleinement jouant l'innocent, ne sachant pas de ce dont on parlait. Vinrent les caresses, les bisous sur mon corps, des mots doux à mes oreilles, des léchouilles sur ma peau, sur mon intimité et puis sans crier gare, cette sensation délicieuse et puissante, ce gland gorgé de sang qui était le sien se pressant à mon anus, à ma petite rondelle, écartant mes sphincters et s'enfouissant dans mes entrailles. Nous fîmes longuement l'amour sur le canapé, là, il me pris avec délicatesse et douceur, passion et volupté. ...
... Seul un léger regain de vigueur, de désir bestial pointa lorsqu'il atteignit son orgasme. J'avais quelques instants auparavant déversé ma semence sur mon torse, dans sa main, lui à présent inondait mon corps, mes entrailles de son sperme en de long et puissant jets.
Steves fini par nous faire rouler sur le flanc, allongés dans le canapé il avait gardé son sexe encore bandé en moi, comme un lien unissant nos corps mais aussi nos âmes et nos cœurs. Il m'embrassait dans le cou, une main jouant sur mon torse et ventre parsemés de mes fluides, de l'autre il se saisit de la télécommande et alluma la télévision. Nous restâmes ainsi tout de long d'un documentaire. Onze heures approchait lorsqu'il finit par capturer mon attention de nouveau d'une petite claque sur les fesses "Allez zou au lit! Tu as cours demain!" dit il d'un ton paternel avant de rire en ajoutant "Moi pas!" J'allais protester mais ne put m'empêcher de rire et de finalement répondre "Oui papa!" Son sexe avait débandé et il me fut aisé de me glisser hors du canapé et de me redresser. C'est avec un large sourire sur le visage, me sentant où je devais être, bien là, désiré et aimé que je m'endormis, les bras musclés du rouquin me retenant, me pressant le dos contre son torse, son menton reposant sur mon épaule.
Je ne sais trop quelle heure il était, peut être quatre ou cinq du matin, lorsque je fus lentement tiré de mon sommeil par une sensation un peu étrange mais pas désagréable. Il me fallut quelques longues ...