1. Tu es à moi


    Datte: 04/01/2019, Catégories: fh, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral totalsexe, hsoumisaf, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... pendre mes seins vers ta bouche, te giflant même parfois avec, essuyant ta salive en frottant impudiquement mes masses molles sur ton visage. Tu me dévores férocement la poitrine, suçant, mordant, câlinant mes tétons bien dressés !
    
    Mes coups de reins t’arrachent des soupirs, je te serre au plus profond de moi ! Je te sens bien en moi ! J’adore quand tu es en moi de la sorte ! J’adore quand tu t’occupes de mes seins ! J’adore quand je me libère, quand je me sens cochonne, quand je sais que ma jouissance va bientôt venir, qu’elle va bientôt éclater, pour toi comme pour moi, fulgurante, puissante !
    
    Ah le fétichisme du bustier ! Cette sensation d’être à la fois chienne et Domina, la caresse du vinyle sur ma peau, les jeux d’ombre et de lumière de cette matière, ce côté sophistiqué et décadent ! Oh que j’adore ça ! Tout ça !
    
    — Encore, encore, encore !
    
    Bouche ouverte, yeux fermés, je me redresse, m’échappant de ta bouche vorace. Je veux profiter de ta grosse bite en moi, je veux la sentir bien en moi, chaudement en moi, vigoureuse en moi ! Je veux me sentir pleine de toi ! ...
    ... Déchaînée, je me pistonne sur ta belle queue qui me donne tant de plaisir, mes seins libérés qui s’agitent, ballottant impudiquement !
    
    — Vas-y, mon cochon ! Vas-y ! Fais-moi bien profiter de ta grosse queue ! Encore !
    — Tu vas voir ça ! Je vais te la faire sentir, ma grosse queue… Ah ! Han ! Han !
    
    Te savoir toi aussi au bord de la jouissance me fait atteindre l’orgasme ! J’explose, je crie mon plaisir, cette vague, ce tsunami qui m’emporte comme un fétu de paille, avec mille étoiles dans les yeux et mille papillons dans les entrailles ! Toi aussi, tu te laisses aller, tu ne tardes pas à me rejoindre, tu éjacules en moi, tu me barbouilles le vagin de ton sperme chaud, me remplissant. Oh que j’aime être remplie tout en jouissant comme une petite folle ! Oh oui !
    
    Haletante et tremblante, je m’abandonne contre toi, vautrée impudiquement sur ton corps. Puis, après quelques longues minutes de quiétude, de tendresse, je te détache. Te frottant les poignets, d’un sourire ambigu, juste avant de m’enlacer, tu me dis :
    
    — La prochaine fois, ce sera à moi de te faire voir que tu m’appartiens ! 
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