Lou, l'initiation à la pluralité - Histoires de Sexe

Lou, l'initiation à la pluralité

Le tintement du smartphone m'avertit de l'arrivée d'un texto et m'extirpa de la torpeur relative dans laquelle j'étais plongé. Mon esprit vagabondait sur ce qui allait se passer. Il provenait comme convenu de Gabriel qui nous invitait à monter. Présent encore dans la région pour quelques jours, Gabriel m'avait contacté en m'exposant son idée de scénario de la surprise qu'il souhaitait faire à sa jolie maîtresse. L'idée m'avait tout de suite emballé et je l'avais assuré de la joie qui m'animait à l'aider dans la réalisation de cette entreprise. Le salon-bar de cet hôtel de charme était très cosy. J'y avais fait quelques minutes auparavant la connaissance de trois hommes invités par Gabriel et qui partageaient avec moi le point commun d'avoir déjà rencontré Lou. Nous bavardâmes pour lier connaissance et le sujet central était évidemment la jolie blonde dont nous avions hâte de retrouver le corps brûlant. Benoit était un cadre sportif dans le début de la quarantaine, châtain aux yeux verts, un peu plus grand que moi.

Stéphane était lui aussi un cadre dynamique de 40 ans, mince, châtain aux yeux bleus et enfin Guillaume, un beau brun sympathique de 40 ans aux yeux rieurs, le plus petit gabarit du groupe et qui était le dernier à avoir rencontré Lou. Nous toqueâmes doucement à la porte et Gabriel, vêtu d'un peignoir blanc, nous accueillit et nous invita à passer dans la salle de bains qui se trouvait juste à côté de l'entrée. Il referma doucement la porte et nous expliqua que ...

... Lou était dans la pièce à côté et qu'elle ne pouvait ni nous voir ni nous entendre. Nous nous déshabillâmes entièrement et entrâmes dans une chambre baignée de lumière ouverte sur une terrasse spacieuse donnant sur le parc. Lou, un masque en tissus occultant son regard comme on en fournit dans les avions, se tenait assise dans un large fauteuil sur la terrasse dos à la rambarde. Elle portait des oreillettes wifi diffusant de la musique lui empêchant de nous entendre. Sur le côté, un autre fauteuil était disposé où Gabriel s'installa après avoir ôté son peignoir. Près de lui une caméra fixée sur un trépied filmait la belle totalement nue, à l'exception d'escarpins vernis noirs à très hauts talons fins. À la cheville droite elle portait une très fine chaîne en or gris ainsi qu'une magnifique parure constituée de chaînes reliées entre elles, entourant le cou, descendant entre les seins puis remontant sur des pinces-tétons et continuant sur le ventre pour finir en enserrant sa taille. Cette parure soulignait ses jolies hanches et habillait de façon très sensuelle la jolie blonde, ce qui déclencha immédiatement mon érection.

Nous nous plaçâmes tous les quatre, nus, face à elle. La disposition de la suite au dernier étage du bâtiment la protégeait de tout vis-à-vis avec les autres chambres sauf d'éventuels promeneurs dans le parc.

Benoit s'avança et toucha la bouche de la belle du bout de son sexe déjà tendu dont les lèvres s'entrouvrirent pour l'accueillir. Lentement la tête ...