1. Ombres et lumières


    Datte: 03/01/2019, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, bain, fsoumise, fdomine, humilié(e), Masturbation intermast, facial, initiatiq, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... arrière-train.
    — Rien de mystique chez moi, c’est uniquement une belle et grosse envie de câlins, dit-elle en emprisonnant mes fesses entre ses mains. J’ai juste un problème de priorité…
    — Si je peux t’aider à y voir clair, parle ma sœur.
    — Je vois le jardin d’Éden dans tes yeux et j’ai les portes de l’enfer entre mes mains. Je commence par quoi ?
    
    La question semble purement rhétorique. Suivant sans plus attendre son envie du moment, elle s’empare de ma main et m’entraîne dans la chapelle. À peine la porte repoussée du bout du pied, elle m’offre ses lèvres avec fougue. Non, beaucoup plus que cela, elle s’offre entièrement en m’attirant entre ses lèvres, avec la même avidité qu’elle m’enfouirait entre ses cuisses si nous en avions le loisir.
    
    La sensation de son abandon et de son désir est communicative. À la fraction de seconde où ma langue la pénètre, je me mets à bander de la moindre parcelle de mon corps. Je bouillonne, je me dresse, je m’échauffe d’envie pour elle. Plus rien ne me retient de lui donner ce qu’elle attend de moi, avec toute la vigueur possible, et aussi longtemps que j’en aurai la force. Elle veut le mâle niché en moi, à l’état brut, elle l’a réveillé, je lui appartiens déjà physiquement.
    
    D’un geste vif, je lui enlève son petit haut, et après un bref instant de contemplation, je m’empare de ses seins à pleine bouche, tout en caressant avidement chaque courbe, chaque creux, chaque repli de son corps, qu’elle frotte goulûment contre le mien. ...
    ... D’emblée, elle écarte ses cuisses pour que mon membre tendu vienne coulisser contre le renflement de son bas-ventre, me transformant en gode vivant, pour l’immédiate satisfaction de ses impatiences.
    
    Je glisse mes doigts contre sa nuque, autant pour caresser cet endroit que je crois sensible à l’extrême chez elle, que pour retenir sa tête qu’elle rejette violemment en arrière à chaque vague de plaisir qu’elle se donne en me serrant contre son entrejambe. Je ne sais pas ce qu’elle a vécu, ou n’a justement plus vécu ces dernières semaines, mais ses sens semblent avoir été dangereusement délaissés.
    
    Bien décidée à utiliser mon corps pour se rattraper, elle prend maintenant ma main et la place entre ses cuisses, avec un couinement de reproche, comme si j’avais été trop lent à trouver la juste caresse. Bon élève, je m’applique à empaumer toute sa vulve et à lui offrir l’exacte pression qui va libérer son ventre de toutes ses tensions. À la sentir lancer ses hanches d’avant en arrière, je n’imagine même pas lui proposer de se dévêtir un peu plus. Elle n’est déjà plus complètement avec moi, seul compte le plaisir qui monte en elle.
    
    Je la serre fortement contre moi de mon bras libre, tout en embrassant son cou et la naissance de ses seins. Placé comme je suis, je n’arrive juste pas à téter ses mamelons raidis. C’est elle qui se donne le frisson manquant en écrasant ses seins contre mon torse, profitant de chaque secousse qui nous traverse pour frotter ses pointes contre le tissu de ...
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