1. Le temps d'assumer


    Datte: 03/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Clarasex, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    Nico s’assoit sur le canapé à côté de moi, met une main sur ma cuisse et dit en me regardant :
    
    « bébé tu trouves pas que ça sent un peu le cul ici ? J'ai été efficace hier hahaha désolé Karim, j'espère qu'on a pas taché ton canapé !
    
    Karim dit : T'inquiète frérot, ce qui est à moi est à toi, l'essentiel c'est que vous vous soyez bien amusés.
    
    Je suis médusée, Nico ne se doute vraiment de rien, Karim, qui bande encore je le vois, profite de la situation, et moi je suis excitée comme une puce, j'ai encore envie de me faire prendre.
    
    Je ne me reconnais plus, je n'ai jamais été aussi lubrique, perverse, et en demande.
    
    A moment donné Nico dit qu'il a faim, et il me demande si je peux aller acheter quelque chose en bas.
    
    Je panique, je ne veux pas y retourner, c'est impossible. Avec un grand sourire, Karim dit qu'il va m'accompagner, pour m'aider à porter, vu que Nico est provisoirement invalide.
    
    Je vais donc chercher mes chaussures, tandis que Karim attend devant l'escalier. On commence à descendre, je marche devant, dans ma petite robe sans culotte, et je sens le jus de Karim me couler sur la cuisse. Il a remarqué aussi car soudain il m'arrête, me plaque contre le mur, passe ses doigts entre mes cuisses pour recueillir son foutre, puis me les fait lécher. Son sperme est délicieux, j'adore le jus en général, mais celui de Nico est toujours trop liquide et clair à mon goût. Celui là est épais,encore un peu ...
    ... chaud, et je me sens chienne en suçant ses doigts. Ça a l'air de lui plaire, car il me met à 4 pattes, sort sa bite encore dure, et me l'enfonce dans la gorge. Il me baise la bouche, je bave abondamment, mes yeux se révulsent tandis qu'il agace ma glotte, j'étouffe, et j'adore ça.
    
    Je comprends que je suis bonne à ça ; me faire utiliser et soumettre par des hommes virils, qui ne cherchent que leur plaisir et m'en donnent malgré tout.
    
    Sa grosse bite a le goût de son sperme, mais aussi de ma mouille, donc on voit les traces sèches à la base de sa queue. Il ne me fait pas sucer longtemps, sans un mot, il me redresse, me faisant face, me gifle un bon coup, ouvre ma bouche et me crache un gros mollard à l'intérieur, que j'avale en le regardant ans les yeux. Il me met une autre baffe, « bonne chienne, viens on va chercher à manger ».
    
    On reprend notre descente, puis on arrive dans la rue, il fait beau, pas de circulation, des tables et des chaises sont installées un peu partout, et des hommes y sont assis, discutant, buvant un café, fumant la chicha. Il y a pas mal de monde, que des hommes, et de tous les âges.
    
    Et je suis encore dans ma robe sexy d'hier, avec mes chaussures à talons, et mon haleine de zob.
    
    On arrive à l'épicerie, on entre,il y a quelques hommes faisant des achats, et le patron est à la caisse, lisant le journal en fumant une clope. Karim s'approche et le salue en arabe, l'homme lève la tête, et me voit.
    
    Il dit quelque chose en arabe à Karim, celui-ci ...
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