1. La détresse de l'aide soignante - 7


    Datte: 02/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Markpm, Source: Hds

    ... dans sa bouche qui a éjaculé sur son visage.
    
    C'est le moment que je choisis pour mettre fin aux festivités. Je n'avais pas encore joui, et Julie non plus, mais je voulais la sortir de cette situation qui dégénérait. Autour de nous, il y avait une vingtaine de personnes, principalement des hommes. Tous avaient leurs sexes sortis, bandés, prêts à prendre la bouche ou le sexe de ma belle à leur tour. Julie a poussé un gémissement de frustration quand j'ai retiré mon sexe et l'ai faite assoir sur l'un des sièges vacants. Je me suis ensuite adressé à notre public.
    
    — Désolé messieurs, c'est fini pour le moment. Je crois que vous en avez tous assez profité, non ?
    
    Certains ont grogné, mais ils ont majoritairement applaudi la prestation de Julie. Celle-ci, le souffle court, me regardait avec un air absent, un regard vitreux. Elle était comme en transe. Tandis que la foule commençait à se disperser, je me suis agenouillé près d'elle et ai dans un premier temps retiré le ring-gag.
    
    — Ça va ? lui ai-je demandé.
    
    — Oui... Oui très bien. J'ai encore envie. J'ai envie de jouir.
    
    — Plus tard, c'est promis. D'abord on va te débarbouiller un peu. Suis moi.
    
    Julie a regardé l'état de sa robe, et son état général, et a souri en voyant le sperme qui recouvrait sa poitrine. Puis elle s'est levé et a pris son plug avant de me suivre en direction de l'accueil. L'hôtesse m'a indiqué où se trouvaient les toilettes, et nous nous y sommes engouffrés. J'ai passé un long moment à ...
    ... nettoyer son visage avec une serviette passée sous l'eau chaude. Il faut dire qu'il y avait une sacrée quantité de semence.
    
    — Tu as fait forte impression, ai-je dis en passant la serviette autour de sa bouche.
    
    — Je crois, oui. Tu as aimé ?
    
    — J'étais fier. Et j'aime te voir aussi chienne. Mais j'ai eu un peu peur pour toi.
    
    Julie a souri, puis a pris ma main dans la sienne pour la serrer. La serviette est descendue sur sa poitrine, souillée également. J'ai voulu retirer les pinces de ses tétons, mais Julie m'a demandé de les lui laisser. Elle disait aimer cette sensation. Je n'ai rien trouvé à y redire, je trouvais que ça lui allait très bien.
    
    — On y retourne ? lui ai-je demandé.
    
    — Oui, avec plaisir.
    
    — On y va mollo, on profite, et si tu es sage, je te ferai jouir.
    
    Julie m'a embrassé fougueusement, et nous sommes sortis des toilettes au moment où un homme et deux femmes entièrement nues entraient dans l'une des cabines. De retour dans la salle, nous étions devenus des célébrités. Les gens nous souriaient et nous félicitaient, certains me demandant s'il y aurait d'autres occasions pour profiter du corps de Julie. Face à ma réponse négative, ils partaient, déçus. Nous avons passé une bonne demie heure assis, à boire et manger ce que les serveurs et serveuses nus apportaient sur leurs plateaux. Julie, devant l'inutilité de sa robe, avait retiré celle-ci, et se tenait là, avec pour seuls vêtements ses bas effilochés et son porte-jarretelles, la chaîne reliant son ...
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