Auto-stop
Datte: 02/01/2019,
Catégories:
Première fois
Hardcore,
Anal
Auteur: michelemimi, Source: xHamster
... m'identifiais à ces actrices, me voilà au pied du mur dans la réalité.
Comme dans ces films, comme une automate, je me penche sur son engin et avance une main tremblante pour caresser sa hampe. Puis, armé de courage, je prends son gland doucement dans ma bouche et commence à le sucer. Il arrête son camion sur une aire de repos et me voyant disponible,il me retourne et me prend d'un coup en levrette. Il me prend comme une pute et je me console en me disant que je n'avais jamais gagné autant d'argent en si peu de temps.
En me limant, du pouce, il me taquine la rosette. Mon sphincter palpite sous la caresse. Tant et si bien qu’à un moment il y enfonce profondément son doigt, m’arrachant un cri de surprise. Il continue le traitement en imprimant de lents allers-retours. Son pouce explore mon cul avec une détermination qui m’inquiète un peu.. Brusquement, il sort de mon vagin, pose son gland sur mon anus et pousse fermement en s'agrippant à mes hanches et en me tirant vers lui. Je retiens ma respiration et sens son engin dilater mon petit trou du cul. Je sers les dents pour ne pas crier. J'ai l’impression d’être écartelée. Mon ventre s’enflamme et je commences à haleter tandis ...
... qu’il imprime un mouvement de va et vient entre mes reins. Une chanson de Gainsbourg me transperce l'esprit.
Ramonée avec vigueur, je me cambre et pousse me fesses vers l’arrière, afin de m’empaler encore plus sur son pieux. Je suis sa pute. En me bourrant le cul, il me malaxe les seins avec vigueur.Une vague de plaisir m'envahit qui m’amène à l'orgasme..
A ce moment, je sens son sexe se contracter en spasmes successif pour se vider au fond de mes entrailles. Je m’effondre repus de tant d'émotions.
Sans un mot, il redémarre satisfait. Épuisée, je m'endors nue sur la banquette. Quelques minutes plus tard, je reviens à moi. Le cul un peu douloureux, je sens son sperme visqueux glisser de mon anus. J’att**** quelques mouchoirs en papier pour m’essuyer et remets mes vêtements.
Nous arrivons à Cherbourg. Le routier me demande :
« Ca va ? Bien remise ? »
« Oui merci Monsieur. »
Quand il me déposa vers la gare, et me glisse :
« Peut-être à une prochaine fois ? »
Je lui souri en prenant ma « prime ».
« Ho ! C'est gentil Monsieur. Merci de votre générosité ! »
En un peu moins d'une heure, je me suis. Je n'avais jamais eu autant d'argent en si peu de temps.