1. Chaleur et soirée estivale font bon ménage


    Datte: 15/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Basleg, Source: Hds

    ... fine donc côté formes c’est pas trop la folie, mais très jolie.
    
    Très sympa on s’entend bien, on rigole, on passe une bonne partie de la soirée ensemble et finalement, on s’embrasse gentiment, un peu à l’écart des autres.
    
    Nous nous sommes doucement isolés à l’étage (c’est un duplex), ses lèvres pulpeuses rencontrent les miennes, timidement au début, puis, au bout de 5 minutes de bisous gentillets, les choses sérieuses commencent.
    
    Sa langue entre soudain en trombe dans ma bouche, me faisant presque sursauter. N’étant pas en reste, je décide de répondre en l’accueillant fermement avec la mienne, puis de découvrir l’ensemble de sa cavité buccale avec force mouvements de tête et main ferme derrière la nuque.
    
    Elle adorait ça.
    
    Nos esprits (et nos corps) s’échauffent, je la retourne contre le mur du couloir, en continuant de l’embrasser fougueusement.
    
    Nos corps se pressent les uns contre les autres, la chaleur montre d’un cran, son corps menu est un délice sous mes explorations buccales, son cou sentant un parfum frais d’été, ses petits seins sans soutien-gorge qui dardent sous le top…
    
    Etat des lieux : un couloir, deux portes menant à deux chambres, une salle de bain et la derrière porte à gauche aux toilettes.
    
    Dans l’instant cela m’avait paru être un labyrinthe interminable. Je mets maintenant cela sur le compte de mon alcoolémie un peu élevée.
    
    On décide bien entendu de ne pas aller dans une chambre mais plutôt d’être discrets et de s’enfermer dans les ...
    ... toilettes…
    
    Pas bête !
    
    Sauf qu’il n’y avait que deux toilettes dans cet appart : au rez-de-chaussée et à l’étage. Donc beaucoup de va-et-vient.
    
    Pas si malin !
    
    On s’engouffre dedans en rigolant comme des petits fous. On continue à s’embrasser toute langue dehors et j’en profite pour caresser son dos et descendre mes mains sur ces fesses. Je retire ce que j’ai dit tout à l’heure, elle cachait un bon petit cul ferme sous sa jupe, la coquine !
    
    Je malaxe sa croupe bien musclée (j’adore les fesses, je pourrais jouer avec pendant des heures) pendant que ma langue fouille sa bouche, on commence à s’échauffer sérieusement. Julie m’a pris la tête dans ses mains et me maintient plaqué contre son visage, à m’en étouffer. C’est si bon.
    
    On se frotte l’un contre l’autre, moi au travers de mon jean, elle au travers de sa jupe. Impossible qu’elle ne sente pas l’énorme bosse qui déforme mon entrejambe.
    
    Je crois bien qu’elle l’avait senti puisqu’une de ses mains descend doucement sur mon torse, palpe un de mes pectoraux pour en apprécier la dureté puis finit par se poser fermement sur ce bombement de tissu que tend mon pénis en érection.
    
    Je ne sais pas pourquoi je la considérais un peu farouche, mais il n’en était rien. RIEN.
    
    Elle commence à me malaxer l’entrejambe avec envie, en me regardant avec ses beaux yeux verts, m’hypnotisant.
    
    Elle me palpe fort, limite à m’en faire mal, et je commence à haleter. Je ne peux plus soutenir son regard de braise.
    
    Elle semble ...