Photos de famille (3)
Datte: 01/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory
... surprise à sa sœur et à sa mère, mais peut-être ferait-il mieux de leur annoncer la nouvelle tout de suite ; il espérait pouvoir calmer ainsi les ardeurs de sa sœur. Cet après-midi, il irait voir Ophélie, lui demanderait de le remplacer pour cette tâche qui lui semblait insurmontable. Cela lui donnerait en plus l’occasion de se tenir éloigné de Sabrina.
Après s’être répandu sur le sol, il reprit son chemin, comme pour se donner bonne conscience d’être venu ici dans l’unique but de chercher un endroit intéressant. Il allait faire demi-tour quand il avisa un arbre incliné au-dessus de la rivière, presque à l’horizontale. Il appela sa sœur qui accourut. Il se demanda si c’était de l’enthousiasme de sa part ou simplement parce qu’elle était ravie à l’idée de pouvoir l’allumer encore une fois.
─ Allonge-toi sur le tronc. Imagine que tu es une panthère qui se repose ; laisse retomber tes bras et tes jambes de chaque côté du tronc, puis essaye de prendre des pauses félines.
─ Ça me plaît comme idée, frangin. T’es un amour ! T’es le meilleur !
Elle l’agrippa par le cou, l’embrassa sur la joue et courut s’installer sur le tronc. Elle prit d’abord les poses qu’Anton lui avait demandées et commença à réfléchir aux suivantes. Elle appuya ses avant-bras sur le tronc et adopta une attitude digne du sphinx de Gizeh.
Elle entreprit ensuite de descendre du tronc, laissant pendre une jambe dans le vide, s’agrippant de diverses manières. Plusieurs fois elle prit des poses qui ...
... ne cachaient rien de son anatomie. Après sa poitrine généreuse, Sabrina exposait l’arme fatale : sa petite fente rose, luisante et lisse que quelques rares poils pubiens coiffaient de leur indécente incandescence. Anton ferma les yeux quelques secondes. Puis elle se suspendit par les bras, redonnant un instant le rôle prépondérant à sa poitrine dans la future capitulation de son frère. Il ne le savait pas encore, mais Anton était sur le point de rendre les armes.
Elle tenta de remonter sur le tronc, parvint à poser un pied contre le bois et se retrouva ainsi le cul en l’air, jambes écartées.
─ Viens m’aider, frérot, je glisse !
Anton se précipita et se retrouva nez à nez avec ce bijou entrouvert comme un fruit mûr à souhait. Elle laissa une jambe retomber sur l’épaule de son frère. C’en était fini ! Ne pouvant résister à cette dernière escarmouche, il colla sa bouche contre cette conque nacrée, goûta au parfum poivré et entêtant. Sa langue glissa sur cette fente entrouverte comme une source qui s’apprête à couler. Et ce petit bouton, là, qu’il avait sur le bout de la langue, commençait à s’ériger, à lancer sa harangue. L’autre jambe le prit en tenaille, l’attira encore plus contre cette friandise qu’il s’interdisait encore quelques minutes auparavant. Il glissa ses mains sous les fesses de sa sœur, la maintint à la bonne hauteur, et après avoir contemplé une dernière fois cette perfection, il plongea sa langue au cœur de ce brasier, le dévora comme on mord dans une ...