LA FEMME LOUVE (1)
Datte: 01/01/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Bugsy, Source: Xstory
... vieille souche, en lisière de la clairière, et elle s’y assit, scrutant les alentours, laissant ses yeux s’habituer à la lueur de l’astre nocturne.
Dans le silence de la nuit, elle était certaine d’entendre des brindilles craquer légèrement, comme si des êtres prudents étaient venus pour l’observer. Se mettant alors dos à la lune, elle fixa l’autre extrémité de la clairière, et bientôt elle en fut sûre : deux yeux luisants l’observaient sans bruit.
Sans aucune crainte, elle se déshabilla alors, se retrouvant rapidement toute nue. Sa main gauche caressait ses seins, jouait avec ses tétons, tandis que la droite vint rapidement trouver un sexe qu’elle sentait déjà tout moite. Cuisses bien écartées, elle introduisit bientôt deux doigts dans son vagin, tandis que son pouce cherchait son petit bouton. Rapidement en transe, elle sentit sa cyprine abondante couler le long de ses cuisses.
C’est alors qu’imitant le loup elle se mit à hurler à la lune...
Tout en fixant toujours les yeux qui l’épiaient, elle mélangea bientôt ses hurlements à ses cris de plaisir.
Au bout d’un moment, elle s’aperçut que les deux petites billes jaunes qui la fixaient se rapprochaient d’elle. Elle continuait de crier et de gémir, tandis que de plus en plus, les yeux se rapprochaient d’elle. Elle distingua bientôt un museau, deux oreilles agiles et bien dressées, un pelage sombre qui s’éclaircissait sur le devant jusqu’à hauteur des deux pattes antérieures.
Le loup était devant ...
... elle.
Elle avait tellement de fois imaginé ce moment dans sa tête, qu’elle ne sentait pas la moindre trace de frayeur, elle se sentait invincible et face à son destin. Doucement, sans mouvement brusque, elle étendit sa main tout imprégnée de son odeur intime.
Ils se fixaient tous les deux dans les yeux, et bientôt elle sentit un souffle chaud sur le bout de ses doigts. Elle étendit alors encore un peu plus son bras, ses doigts contournèrent le museau humide et frémissant. Elle sentit alors une caresse sur sa main : le loup sortait sa langue et commençait à la lécher. Cette langue était un peu moins râpeuse, plus douce, plus agile que celle d’un chien.
Elle pensa alors fortement au plaisir que cet appendice pourrait lui procurer quand il ne serait plus sur le bout de ses doigts, mais aurait accès à ses lèvres intimes...
Toujours très lentement, et tandis que le loup continuait à la lécher, elle posa son autre main sur sa tête, juste entre les deux oreilles, qu’elle commença à caresser. L’animal la laissait faire, tout heureux, qu’il semblait être à lécher cette main odorante. Ensuite tout en caressant toujours sa tête, elle ramena sa main vers son sexe en feu, l’enduisit une nouvelle fois de sa cyprine, et elle s’approcha de nouveau du loup, mais cette fois sans tendre son bras, qui resta à demi ployé. Quand elle sentit de nouveau la langue sur elle, elle ramena lentement sa main vers son entrejambe, faisant rapprocher le loup.
Bientôt elle sentit sur ses lèvres la chaleur ...