1. Des hommes et des chiens pour ma petite chatte. (1)


    Datte: 01/01/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Cette histoire raconte comment les chemins d’un groupe d’hommes et de leurs chiens ont croisé ceux d’une jolie femme.
    
    Il y aura la version vue par cette dernière et celle des hommes.
    
    Commençons, si vous le voulez bien, par la narration de Madame.
    
    A cette époque, le dimanche matin, quand mon copain avait travaillé toute la nuit et qu’il faisait beau, je sortais pour ne pas le réveiller. Je passais deux à trois heures dans le parc à côté. Même si on habitait dans une petite ville d’une vingtaine de milliers d’habitants, il était, et est toujours souvent fréquenté. Alors, pour être tranquille, je m’isolais dans l’une des allées les plus reculées, sur un certain banc qui reçoit le soleil doux et lumineux du printemps. J’y étais à l’écart des joggeurs qui fréquentent les grandes allées ou de l’aire de jeux pour enfants, si pleine de bruit. J’y étais à peine dérangée par le passage rare d’une ou deux mémères à toutou, toutes gentillettes avec lesquelles on échange d’habitude quelques mots. Quand elles étaient passées, je reprenais ma lecture, au calme, enfouie dans le bon bouquin du moment.
    
    Ce dimanche là, j’ai vu arrivé un type, accompagné d’un grand chien, bâtard de je ne sais quelle race. Le mec avait tout du marginal. Rangers, pantalon de treillis à ceinture, marcel noir, cheveux rasés sauf une crête. Il portait une veste sans couleur, tellement elle était salle, sur l’épaule. Il avait une barbe de trois jours. C’était un magnifique garçon aux muscles saillants, au ...
    ... visage à la fois juvénile et buriné par la vie au grand air, des traits carrés. Il pouvait avoir de vingt à vingt-deux ans. J’avoue l’avoir considéré avec insistance et peut-être l’ai ainsi encouragé.
    
    Oui, j’ai sûrement dû le regarder trop longtemps, même si mon coup d’œil a été furtif. Il s’est approché de moi, s’est planté juste devant moi, presque à me frôler. Il a posé sa main sur sa braguette et a commencé à se toucher. Je ne levai pas les yeux vers lui, enfin pas plus haut que la ceinture sous laquelle une excroissance visible me donnait du désir mais je n’osais pas bouger.
    
    — Tu suces ?
    
    Je n’ai pas répondu, plus à cause de la vulgarité de la demande que pour la demande elle-même car l’engin pour tout dire me faisait de plus en plus envie.
    
    — Je suis sûr que tu suces. T’as une belle bouche à zobs, salope.
    
    Je n’ai toujours rien dit. Trop vulgaire le mec... s’il y avait mis plus de formes... pourquoi pas. Il était tellement plus attirant que mon homme, mais j’aime une certaine distinction voire un peu de romantisme. Cela ne fait jamais de mal.
    
    — Aller, vas-y ! il ne passe personne. J’suis sûr que t’as jamais gobé une bite comme la mienne.
    
    J’ai tourné une page, l’air le plus absorbé possible par mon livre qu’en fait je ne lisais plus. Je dois l’avouer, j’aime les beaux garçons et celui là était vraiment infiniment plus viril que mon mec. Mais il puait et cela me repoussait malgré mon penchant pour les effluves de mâle, de même que l’idée de me livrer au ...
«1234...7»