1. Hélène


    Datte: 01/01/2019, Catégories: fh, fhh, fbi, hbi, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral 69, fdanus, fsodo, hgode, uro, couple+h, Auteur: Epizod, Source: Revebebe

    Tout s’enflamme maintenant, crépitements, explosions, coups de tonnerre qui vous pénètrent jusqu’au fond des reins et ponctuent l’anarchie maîtrisée des couleurs qui illuminent la nuit. La foule mêle des personnes de tous âges, beaucoup de familles, mais tous ne sont à cet instant qu’enfants émerveillés, le cul sur le gazon, le nez en l’air et les yeux qui brillent.
    
    Je quitte brièvement des yeux le spectacle dans le ciel pour jeter un coup d’œil à Hélène, assise à mes côtés. À cet instant, et bien que je ne connaisse que depuis quelques mois cette jolie femme de trente ans, je suis certain d’avoir sous les yeux l’Hélène de huit ans, tant son visage levé vers le baroud d’honneur du feu d’artifice qui s’achève est celui d’une petite fille, la bouche ouverte en un « O » muet de fascination, avec les derniers feux qui se reflètent dans ses yeux verts.
    
    Redevenu moi aussi un gosse tout le temps qu’a opéré la magie pyrotechnique, je me sens vaguement iconoclaste et honteux de l’image qui traverse furtivement mon esprit, celle de cette jolie bouche en « O » consacrée à des activités qui ne sont pas celles d’une fillette de huit ans.
    
    oooOOOooo
    
    Le soir précédent, j’ai enculé Hélène. Après qu’elle me l’ait demandé : « Encule-moi ». Son trou du cul que j’avais longuement léché et pénétré de ma langue s’est ouvert au premier assaut de ma bite, j’ai pilonné les murailles, défoncé les remparts, investit la place, peu ému par ses gémissements qui semblaient de reddition plus que ...
    ... de souffrance, j’ai conquis son fion, martelé, et finalement marqué le territoire conquis de jets d’un foutre poisseux dont des résidus, après que je me sois retiré en vainqueur, s’échappait de son anus asservi qui se refermait doucement.
    
    oooOOOooo
    
    Hélène, mais je ne sais pas encore qu’elle s’appelle Hélène, est une femme discrète. D’une discrétion qui la cantonne à une quasi-invisibilité que, je l’apprendrai plus tard, elle recherche. Non qu’elle ne soit pas jolie, non que son corps ne soit pas désirable, mais encore faudrait-il la deviner, l’appréhender : une absence permanente de maquillage, un look passe-partout et une manière de se couler dans l’espace en déplaçant le moins d’air possible en font une présence effacée, modeste. Elle n’aime pas le vacarme, l’agitation, la foule, les hystéries collectives, qu’elles soient sportives, artistiques ou politiques.
    
    C’est une voisine, mais pas de celles qui éveillent instantanément le fantasme. Pour cela, encore faudrait-il la voir. J’ai dû la croiser des quantités de fois, puisque j’ai appris plus tard que nous habitons le même quartier, fréquentons les mêmes commerces, depuis qu’elle s’y est installée il y a trois ans. C’est seulement lorsque j’ai manqué lui coller la porte de la boulangerie en plein visage que j’ai connu son existence. Je me suis excusé, elle a ébauché un sourire en rougissant et soudain elle était réelle.
    
    oooOOOooo
    
    Hélène se branle. Souvent. Elle aime, chez elle, sur son lit, écarter ses cuisses ...
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