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La déchéance de Sophie Ch. 06
Datte: 31/12/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byMonsieur_E, Source: Literotica
La soirée fut longue et douloureuse pour moi. Affamés par ces exercices je fus tout d'abord chargée de préparer le repas uniquement affublée d'un seul tablier et de mes haut-talons. Pendant que je m'affairais, Sonia, toujours nue, se faisait peloter sans vergogne sur les genoux d'Eric. Ce fut le seul moment jusqu'au coucher ou il m'autorisa à être debout et je savourais comme un délice cette infime parcelle de dignité retrouvée. Pendant que je battais les oeufs (je préparais une omelette) j'observais à la dérobée ce qui se passait derrière moi. Eric se comportait avec ma fille de manière beaucoup plus douce qu'avec moi et elle même ne montrait aucune gêne à répondre à ses sollicitations. Sauf la situation si particulière dans laquelle nous nous trouvions, j'aurais très bien pu m'imaginer cuisiner pour mon futur gendre. Une fois de plus j'étouffais une montée de jalousie totalement injustifiée. Lorsque j'apportais le plat sur la table, Sonia gémissait les cuisses écartées alors que notre Maître caressait doucement son clitoris gonflé. Je posais les assiettes et allais m'assoir quand il interrompit mon geste tout en poursuivant les siens. -"Depuis quand les animaux mangent à table?" Je me figeais instantanément. -"Va chercher un bol et pose le par terre à côté de moi" Les larmes aux yeux, je fis comme il dit et alors que je me penchais il arrêta momentanément de s'intéresser à ma fille pour tirer sur ma laisse et me forcer à me mettre au ...
... sol. -"Assis! Bonne chienne" Avec sa main, il prit une portion d'omelette et la lâcha directement dans le bol. Puis d'un geste négligent il me tapota la tête. -"Allez mange mon toutou" J'étais anéantie. Après ma dignité je perdais jusqu'à mon statut d'être humain. Je n'étais qu'un animal de compagnie pour lui et je me sentais m'enfoncer encore plus loin dans la soumission. Aussi terrible que cela paraissait, j'aurais pu faire face mais le coup de poignard qui m'acheva fut le sourire et le petit rire qui échappa à Sonia. Ma propre fille prenait plaisir à mon humiliation. J'étais seule et ne devais m'attendre à aucun réconfort de sa part. Ravalant ma fierté, je détournais le regard et dans la position de la suppliante, commençait mon repas toujours relié par du cuir à la main qui m'asservissait. Au dessus de moi j'entendais des gloussements et des chuchotements et me sentir ainsi exclue au sein de mon propre foyer rajoutait à ma détresse. A un moment, Sonia se leva et ses chevilles passèrent dans mon champ de vision. La porte du frigo claqua sans que je vis ce qu'elle y avait prélevé. Le nez dans mon bol, je sursautais quand un liquide tiède coula sur ma croupe offerte et le long de ma raie suivit bientôt par des doigts qui se pressèrent sur ma vulve, étalant cette substance sur et en moi. Je tentais de me redresser mais la laisse me maintenait clouée au sol et je n'eus d'autre choix que de me laisser faire sous peine de m'étrangler. On me força à écarter les ...