Famille déviante (1) - Histoires de Sexe

Famille déviante (1)

... pilonner sa mamie qui hurlait à présent son plaisir. Ils se fichaient tous deux d’être surpris. C’était trop bon pour arrêter. Au diable les autres et les règles !

Il saisit ses deux seins sans cesser de la défoncer pour les caresser à nouveau. Il suça ses tétons tandis qu’elle entourait ses hanches avec ses jambes.

— Oh ! Comme c’est bon mon chéri, vas-y ! cria-t-elle entre deux gémissements.

Tim se sentait venir, mais résista pour donner plus de plaisir à sa mamie adorée qu’il aimait plus que jamais. Le sexe, c’était trop bon !Il l’embrassa à son tour. Il voulait se noyer dans ce plaisir. Il tint encore dix minutes avant de tout lâcher en elle en poussant un "Oooooh".

Il sentait ses forces l’abandonner. Mais Stéphanie n’en avait pas fini. Ne voulant pas attendre plus longtemps qu’il débande, toujours avec sa bite en elle, elle le retourna sur le côté pour se placer au-dessus de lui et commença à le chevaucher sans prévenir. Tim cria presque de douleur :

— Mamie, je viens de jouir ! C’est trop... Aaah !

— Aah... Ce n’est pas... Aaah... Finis ! répondit Stéphanie, en train de prendre son pied.

C’était ce genre de moment qu’elle adorait. Cela pouvait presque s’apparenter à un viol. Mais elle adorait cela. Les faire jouir une deuxième fois sans pause avec la première lui donnait un sentiment de supériorité par rapport aux autres femmes. Ses mouvements de hanches étaient ...

... gracieux et sensuels, et si Tim souffrait au début il se prit vite au jeu attrapant le gros cul de sa mamie qu’il avait délaissé jusque-là. Stéphanie remarquant cela était fière de son petit-fils. Elle accéléra le mouvement pendant quelques minutes avant de, finalement, terminer par des montées et des descentes sur la bite de Tim. Ce dernier jouit grâce à cela au bout de sept minutes très exactement. Stéphanie toujours sadique continua son mouvement tandis qu’il crachait son sperme en elle et qu’elle jouissait fort. Et encore trois minutes après, sous les cris de Tim. Elle se retira pour s’allonger à côté de lui.

— Tu as bien tenu. Je suis fier de toi mon chéri.

— Mamie... haleta-t-il. Tu es vraiment une malade.

Cela la fit rire.

— En tout cas, ça n’a pas l’air de t’avoir déplu.

— Non... J’ai même adoré. C’est bizarre ? fit-il en se tournant vers elle.

— Non mon beau. Tu es juste aussi pervers que moi. On n’a pas fini de s’amuser toi et moi... Demain tu as cours non ?

Son visage s’assombrit.

— Oui... D’ailleurs, ne sois pas étonnée que maman trouve une excuse pour partir...

— Pourquoi dis-tu cela mon beau ? l’interrogea Stéphanie. Tu avais une drôle d’attitude au repas quand on a parlé de ce que faisait ta mère pour supporter la vie célibataire. Qu’est-ce que tu sais ?

Il resta silencieux un moment. Puis :

— J’ai surpris maman, avec un garçon de ma classe...