Roxane
Datte: 30/12/2018,
Catégories:
f,
fhhh,
fépilée,
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
jouet,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
yeuxbandés,
bougie,
fouetfesse,
piquepince,
init,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... duc. Ils l’accueillirent avec leur habituelle excellente humeur ainsi que des compliment sur sa tenue.
Le dîner fut aussi agréable que d’habitude, d’autant qu’apparemment, ils avaient remporté le match de polo, les rendant plus heureux que jamais.
Ils accueillirent avec des grands sourires la nouvelle de la présence plus longue de Roxane au château. La jeune femme fut touchée par ces élans de sympathie. Comme à son habitude, elle disparut après le dîner sauf que cette fois-ci, elle se changea sans se laver, l’oreille tendue vers le couloir.
Elle préféra ne pas calmer le feu dans son ventre, de peur de rater le bruit dans le couloir. Elle éteignit la lumière, faisant ainsi croire qu’elle dormait, avant de se demander si c’était une bonne chose. En effet, d’habitude, elle ne dormait jamais si tôt.
Elle décida donc, finalement, de laisser la lumière allumée et colla vraiment son oreille à la porte. À genoux, la tête sur le bois, elle se donnait l’impression d’une folle furieuse qui espionne son hôte et pourtant, elle ne pouvait s’en empêcher.
Cette fois, elle voulait voir le début ! Enfin, elle entendit des bruits de pas dans l’escalier. Ils s’approchèrent, passèrent devant sa porte, continuèrent le long du couloir pour finalement disparaître. Roxane, faisant fi du danger, ouvrit immédiatement sa porte pour regarder à droite.
Il n’y avait pas âme qui vive.
Sur la pointe des pieds, elle s’approcha, l’adrénaline se déversant dans son sang augmentant encore ...
... son excitation. Arrivée à la porte menant au donjon, elle colla son oreille au panneau de bois. Elle entendit des bruits lointains. Elle tourna donc la clenche et s’engouffra sur le palier en haut de l’escalier. Elle se mit dans la même position que la veille.
Les quatre hommes étaient assis à la table, sirotant tranquillement un verre alors que la femme, toujours habillée, attendait, à genoux, les mains dans le dos, les yeux bandés, leur bon vouloir.
Plus le temps passait et plus Roxane avait du mal à se retenir de se caresser. Cette simple attente l’excitait. Voir cette femme réduite à simple objet dont les hommes pouvaient se servir selon leur envie la chauffait plus que jamais, et ce bien que, paradoxalement, il ne se passa rien. Enfin, le comte Charles Stethen – Roxane était enfin parvenue à retenir leurs noms et titres – lança :
— Enlève ton chemisier.
La femme retira un à un chaque bouton puis fit glisser son haut jusqu’au sol. Elle ne portait rien en dessous. Elle était de trois-quarts par rapport à Roxane qui constata que les quatre hommes la regardaient agir sans cesser de sourire.
Ils reprirent leur conversation, ne demandant rien de plus à la femme qui avait replacé ses mains dans son dos. Cette nouvelle attente chauffa encore un peu plus Roxane.
— Retire ta jupe, ordonna le comte qui, apparemment, ce jour-là, était le maître.
La femme obéit. Elle n’eut pas à se relever car la jupe s’ôtait d’un simple bouton sur le côté. À nouveau, elle ne ...