Une fessée instructive (3) - Histoires de Sexe

Une fessée instructive (3)

— Mais chéri, tu n’y penses pas !!!!!!!!

— Non seulement j’y pense, mais tu vas m’obéir immédiatement.

— S’il te plaît, pas quand les enfants sont là! Tu as vu l’état de ton fils quand tu me fessais tout à l’heure ? Tu sais à quel point il est curieux il ne mettra pas deux jours avant de s’apercevoir que je n’ai pas de culotte.

— En effet, il ne lui faudra pas deux jours puisque tu vas aller le lui dire toi-même dès à présent.

— NONNNNNNN il n’en est pas question !

— Tu préfères peut-être que ce soit non seulement sans culotte, mais aussi sans jupe que tu vas passer les deux prochains mois ? Et je te rappelle que tes parents sont d’accord avec moi, tu as pu constater à quel point ton papa bandait quand je t’ai fessée et plus encore quand il t’a fouettée ainsi que le plaisir sadique qu’il a pris à t’enfoncer le manche du martinet.

— C’est différent ! Ce que tu exiges c’est que ton fils et ma fille puissent voir mon derrière nu au moindre de mes mouvements.

— Cesse ta comédie de fausse pudeur j’ai bien vu que ton minou appréciait d’être exposé à nos parents, mais aussi à nos enfants. Je te donne 5 minutes pour rassembler toutes tes culottes, et tes strings, les mettre dans un sac et me les apporter. Je les mettrai sous clé pendant deux mois c’est ta punition et j’estime que je suis bien trop gentil. De plus si tu hésites encore je dirai à Romain de vérifier chaque jour que tu es bien cul nu sous ta jupe.

Dans la chambre, les deux garnements avaient ...

... entendu la totalité de la dispute. Si l’émotion d’Isabelle était un peu discrète, Romain ne pouvait pas cacher son érection. D’autant moins qu’il n’avait toujours pas remis son slip après les caresses maladroites échangées avec la jeune fille.

— Il faut que je sorte tout de suite de ta chambre sinon ils vont me voir et ce sera au tour de nos culs de rougir.

— Impossible mon père est resté dans le hall de nuit il attend ta maman devant ta porte. Remets ta culotte et prends un livre on fera comme si nous n’avions rien entendu.

Joignant le geste à la parole, le gamin se dépêche de remettre un semblant d’ordre dans sa tenue, Isabelle faisant de même de son côté. A peine avaient-ils pris un livre au hasard que la porte de la chambre s’ouvre

— Vous étiez là tous les deux ! Isabelle, Romain, Chantal à quelque chose à vous dire ! Isabelle ramasse ta culotte, ce n’est pas toi qui es punie c’est ta maman.

Rouge de honte la gamine s’aperçoit que dans sa précipitation, elle a omis remettre le sous-vêtement qui traîne encore au pied du lit. Elle tente bien de faire bonne figure, mais c’est difficile dans de telles circonstances à son âge.

Traînant les pieds, mortifiée, Chantal entre à son tour dans la chambre. Sous le fond de teint raviné par les larmes qu’elle a versées, ses joues sont plus cramoisies que celles de sa fille. Sans oser lever les yeux sur les ados ni son compagnon, elle tend à celui-ci un petit sac plastique gris, gonflé dans lequel les gosses se doutent que ...