1. Une infirmière consciencieuse


    Datte: 30/12/2018, Catégories: fh, médical, volupté, massage, intermast, Oral Auteur: Arthur c, Source: Revebebe

    … Elle sentait monter des sensations fortes entre ses cuisses, comme si la vie se réveillait à cet endroit de son corps. Elle comprit que son corps lui révélait ce qu’elle n’osait s’avouer. Masser ce patient auquel elle s’était attachée lui procurait plus qu’un sentiment de devoir accompli. Au fil des minutes, elle se faisait plus douce. Après tout elle avait bien le droit de prendre un certain plaisir à son métier…
    
    En abordant le bas du dos, elle se fit plus caressante. Il était hospitalisé depuis un mois et la relation devient vite proche quand on assiste quelqu’un dans sa guérison et qu’on partage des moments intenses ou intimes, de souffrance, et de soins. Depuis quelques minutes, ils avaient cessé de parler, ce qui donnait une atmosphère assez particulière. Un grand calme régnait après 23 heures dans l’hôpital, une partie des patients étant déjà endormis, et peu de personnel étant présent. C’est pourquoi elle avait décidé de lui proposer ce massage en voyant qu’il ne dormait toujours pas. Elle ne pensait pas que l’intimité viendrait si vite, même si elle savait bien qu’entre eux, une envie de se connaître, une séduction se tramait depuis quelques jours.
    
    Elle perçut vite qu’elle ne le laissait pas indifférent et en fut un peu plus troublée. Son rythme cardiaque s’accéléra et elle sentit le feu lui monter aux joues. Il avait beau être tourné sur le côté, elle aperçut soudain l’extrémité du sexe de son patient qui ne pouvait réprimer un début d’érection. Elle sentit ...
    ... qu’elle-même commençait à mouiller.
    
    Elle poursuivit son travail en élargissant la zone de massage. Elle avait commencé sur les reins et la colonne vertébrale, ce qui se justifie quand on reste alité plusieurs jours de suite, et maintenant elle parcourait tout le dos mais également portait ses mains sur les flancs de l’homme. Elle perçut des frissons chez son patient quand elle toucha sa hanche gauche.
    
    — Ça ne va pas ? s’enquit-elle, avec un trouble dans la voix.
    — Si, ça va, mais vos mains sont si douces, ça me soulage tellement…
    
    De s’entendre parler comme elle l’avait fait, sur un ton si doux et avec une pointe d’hésitation dans la voix, elle sentit qu’elle commençait à trahir son trouble. Le fond de sa petite culotte fut bientôt trempé de désir. Elle sentait désormais son sexe palpiter, s’ouvrir, se réveiller, s’humidifier. Il reprit :
    
    — J’ai l’impression de ne pas avoir ressenti cela depuis si longtemps : le temps ne passe pas vite dans un hôpital, et on oublie vite qu’on peut être si bien. Heureusement que vous êtes là.
    — C’est mon travail de vous soulager. Tant mieux si cela vous aide à oublier la douleur.
    — Ne dites pas ça, vous me rappelez que je ne suis qu’un numéro de chambre parmi d’autres.
    — Je ne voulais pas dire ça… excusez-moi, dit-elle.
    — Ne vous excusez pas, je plaisante.
    
    Il se retourna sur le dos. Le drap, descendu jusqu’aux fesses pour le massage, ne cachait pas entièrement son sexe, et elle le vit. Il lui tenait toujours le bras. Ils se ...
«123»