Papa l'homme de ma vie. (7) - Histoires de Sexe

Papa l'homme de ma vie. (7)

... souffre.

L’assistant reprend le clito entre ses doigts et le triture comme pour le faire éclater, Cloé ferme les yeux, son visage a repris des couleurs.

Je crois qu’elle prend un certain plaisir, sa poitrine se soulève, elle respire plus profondément.

Je donne ma bite à sucer à Linda, ma belle-sœur dévouée, elle me suce merveilleusement, sa langue entoure mon gland, elle titille le frein de nombreuses fois et lape les perles de rosée qui s’échappent du méat.

Mon frère, lui, s’acharne sur une femme qui a déjà joui trois fois, il lui laboure la chatte à grands coups de boutoir.

La femme grogne de plaisir, elle se raidit et envoie sa cyprine sur les couilles de mon frère qui continue de la démonter rageusement.

Cloé agite sa croupe, elle donne des coups de reins pour aller à l’encontre de la bite du poney qui la défonce.

Elle ondule sous les coups de boutoir du poney, elle se crispe et hurle en giclant.

L’animal continue de l’enculer, il souffle fortement puis explose, il inonde le cul de ma fille avec un torrent de sperme.

Le Maître fait partir le poney, le cul de ma fille est béant, le surplus de sperme s’écoule du trou dévasté.

Moi, je décharge dans la gorge de Linda qui avale jusqu’à la dernière goutte.

Je rejoins ma fille, ma queue est gluante; je lui offre, elle ouvre la bouche, et lèche toute la ...

... longueur de ma bite avec sa langue.

Je pousse des hum de plaisir.

Je ne peux m’empêcher de faire entrer mes doigts dans les deux orifices béants, je ramone doucement les conduits visqueux.

Mes mains disparaissent dans les antres profonds, je ramone énergiquement les conduits dilatés, j’accélère lorsque ma fille reprend ses gémissements. Elle me regarde :

— Oh ! Papa, papa, c’est terrible, j’ai les entrailles en feu, ramone-moi fort !

J’augmente la cadence, c’est comme avec deux pistons que je défonce ma fille chérie.

À chaque enfoncement, l’on peut entendre un bruit de succion, j’enfonce mes deux mains à fond, ferme les poings et recommence le terrible ramonage; Cloé grimace, elle agite sa croupe.

Elle se cambre et explose en hurlant.

Les spectateurs applaudissent à tout rompre.

La vieille femme vient près de Cloé, et l’embrasse à pleine bouche.

Elle lui frotte le clito, qui a pris des proportions incroyables, son bouton est méconnaissable ; il ressemble à une petite bite, la femme le gobe et le tète jusqu’à ce que ma fille jouisse à nouveau.

Elle pousse un hurlement lorsque sa cyprine gicle, elle serre les dents.

Ses yeux sont remplis de larmes, elle respire difficilement.

Elle demande qu’on la libère.

Elle me rejoint en titubant, mais en est ravie de ses exploits; je l’embrasse, nos langues se nouent.