Un soir de mai
Datte: 29/12/2018,
Catégories:
f,
fhh,
copains,
fépilée,
Oral
confession,
Auteur: Barbara, Source: Revebebe
... pleinement sorti tant Adam et Bruno l’avaient entrepris. Je me souviens encore du bien et de la chaleur ressentie, et de cette jouissance si forte que leur excitation est encore montée d’un cran alors que tout était déjà si fort.
J’ai tenté de ressentir lequel des trois me procurait le plus de plaisir, eux ou moi seule, la main sur mon clitoris, mais en fait c’est le mélange de nos trois corps qui faisait que le plaisir atteignit un tel degré. Et puis j’ai cessé de réfléchir et je me suis de nouveau abandonnée à ces hommes beaux et musclés.
Une chose en entraînant une autre, j’ai chevauché chacun de mes partenaires, pouvant ainsi à mon tour les regarder vibrer sous mes coups de reins.
Puis ils m’ont reprise chacun à leur tour, puis en alternant leurs places. Ils sont devenus plus sûr d’eux et plus musclés dans leurs coups de reins. Pendant que l’un me prenait, l’autre me mettait ses doigts dans la bouche en faisant semblant de me torturer, ou bien il me touchait la poitrine fermement ou me masturbait. Oui, ils avaient pris de l’assurance, leurs sexes et leurs mains se touchaient presque, eux qui étaient si distants au début faisait maintenant l’abnégation de leurs peurs afin de me procurer le plaisir prometteur de cette relation.
Tout ceci à duré tard dans la nuit, et je me souviens encore de ce plaisir. Un plaisir tellement intense que je me sentis ...
... comme transportée et abandonnée à ces deux amants qui sous l’effet de mon overdose de plaisir sexuel auraient très bien pu oublier tout le respect qu’ils avaient toujours eu à mon égard lors de cette expérience. Mais ils n’étaient pas comme cela, nous étions tous trois là pour jouir ensemble, et me prêter à ce jeu avec eux était des plus jouissifs. Et eux aussi ont joui, chacun leur tour, mais pas en moi, sur moi, sur mes reins cambrés. J’ai senti la chaleur de leur sperme envahir mon dos, et glisser de part et d’autre de ma taille. Quand je me suis levée, c’est sur mes fesses que leur sève s’est écoulée, puis le long de mes jambes.
Je suis rentrée chez moi, à vingt kilomètres de là sans même me doucher, comme si en arrivant dans mon appartement je voulais être sûre de n’avoir pas rêvé. Je me suis douchée en me caressant encore et encore comme si je ne voulais pas que tout cela se termine. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et comble de tout, jamais je n’ai eu l’occasion de les revoir, ni l’un, ni l’autre.
J’ai appris par la suite, que lorsque leurs amis communs venaient à parler de moi en leur présence, car au final ils se sont souvent revus, tout le monde les sentaient bizarres comme s’ils partageaient un secret. Et quel secret ! Ils avaient couché avec la belle Barbara, tous les deux en même temps, dans le même lit, dans cet appartement, un soir de mai.