1. pute en devenir 7


    Datte: 29/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Inceste / Tabou Auteur: rolanddu04, Source: xHamster

    ... mes deux femelles apparaissent lavées (les cheveux mouillés ne trompent pas), coiffées et maquillées sobrement. Je me pose dans le fauteuil, sans voix.
    
    — Maître, nous voulons vous câliner pour vous remercier de ce qui s’est passé aujourd’hui et pour ce qu’il se passera désormais.
    
    Chacune d’un côté, debout, elles se penchent et commence une pipe à deux bouches, sans les mains. Quand l’une me prend en bouche, l’autre me gobe les couilles. Elles inversent les rôles, c’est divin. Je regarde ces deux femelles qui n’ont d’yeux que pour ma bite. Elles la cajolent, la flattent. Elles me lèchent de haut en bas et de bas en haut. Elles se regardent amoureusement quand leurs langues viennent à se toucher. Elles s’embrassent au-dessus de mon gland. Je relève Aurélie et lui demande de venir à califourchon, dos à moi. Sylviane vient entre mes jambes et continue à me lécher les couilles. Je saisis les deux petits tétons de la petite et lui pince fortement. Elle s’empale doucement en gémissant. Sylviane à la gueule engluée des sécrétions de sa fille. Aurélie ne bouge plus, savourant la caresse buccale que sa mère lui prodigue. Je bouge mon cul de bas en haut, lentement au début, puis de plus en plus vite. Les râles d’Aurélie se sont transformés en cris d’a****l.
    
    — Oui, Monsieur, qu’elle est… Bonne votre ...
    ... queue… OUIIIII !!!
    
    Je la pousse en avant. Elle se retrouve debout, bras tendus en appuie sur la table basse du salon. Je la pourfends comme une bête. Sylviane admire la scène en position d’attente.
    
    — Touche-toi, branle-toi… Dis-je à Sylviane en burinant sa fille comme un beau diable.
    
    Je mate, tour à tour, ma queue qui martèle le petit con d’Aurélie et sa mère qui s’enfonce trois doigts au rythme de mes coups de reins. Je sens ma sève monter. Je ralentis. Lentement, très lentement, je vais et je viens entre ses reins. Je jubile de ce spectacle si pervers. Une nana en train de se doigter devant sa fille qui se fait prendre. Les cris de jouissance remplissent le salon. Des "ARGH", des "OUI" et des "AH" résonnent dans tout l’appartement. J’espère que les voisins sont sourds car elles ne font pas dans la demi-mesure. Elles gueulent. Je reprends une cadence soutenue.
    
    — Amène ta tronche. Je vais jouir dans ta gueule et tu n’avales pas. Il faut partager.
    
    Délicatement, elle pose sa tête de côté sur les fesses de sa fille, bouche grande ouverte. Je me lâche. Le premier jet est pour la chatte d’Aurélie, les autres pour la bouche de sa mère. Consciencieuse, elle m’aspire jusqu’à la dernière goutte puis partage ma semence dans un long baiser brûlant.
    
    Dieu que s’est beau. Dieu qu’elles sont belle. 
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