1. De surprise en surprise !


    Datte: 29/12/2018, Catégories: grp, hbi, extraoffre, fdomine, intermast, Oral préservati, pénétratio, portrait, couple+h, entrecoup, Auteur: JCX, Source: Revebebe

    ... une part de légende qui veut que le vieux cerf se nourrisse de la force et de la virilité des jeunes prétendants impétueux. Fantastique, est-ce cela que Brigitte nous réserve dans cette salle mystérieuse… dont le nom laisse libre cours à l’imagination masculine ?
    
    Honneur à notre invité ! Brigitte m’indique une porte située sur ma gauche. Une énorme porte en bois sombre, finement ciselée sur son pourtour. Juste au-dessus, un tableau de « la scène de chasse » de Domenico Brandi, le peintre du vice-roi de Naples au 18ème siècle, réputé pour ses natures mortes et ses paysages pastoraux. Décidément !
    
    Obéissant, flatté et curieux, je me dirige calmement vers cette porte en bois massif décorée avec incrustations et ferronneries sous les regards des « initiés ». La poignée en fer forgé, représentant un cor de bois, s’abaisse, sans bruit, sous la pression de ma main. Je n’en crois pas mes yeux !
    
    Une pièce spacieuse, presque carrée, d’environ cinq mètres de large sur six mètres de long et d’une hauteur sous plafond d’un minimum de trois mètres cinquante. Une estrade, ronde et surélevée d’une vingtaine centimètres se trouve en son centre. Sur l’estrade, un drôle d’engin…
    
    Sur le mur, devant moi, un magnifique trophée de chasse, une tête de cerf dans la position du brame ornée de gigantesques bois (seize cors, au bas mot). Sur la gauche, j’aperçois un banc en bois de noyer, ressemblant de beaucoup à un banc d’église espagnole du 17ème siècle (c’est mon intérêt pour les belles ...
    ... choses !). Les faces avant au niveau des pieds et arrière du dossier sont finement sculptées. L’ensemble paraît en excellent état de conservation. Cinq coussins d’un rouge éclatant et brodés au fil d’or ornent son dessus. Belle déco, mais à qui peut bien servir ce banc ?
    
    À l’opposé, et sur ma droite, un grand miroir mural d’au moins deux mètres cinquante de haut et intégré dans un cadre en manguier massif superbement travaillé. Le parquet « à la Versailles », constitué de panneaux en bois carrés préassemblés et présentant un motif de diagonales entrelacées, est à l’évidence régulièrement entretenu et donne la touche finale à cette salle dédiée très clairement à « Diane » et à ses adorateurs.
    
    Mon imagination me joue peut-être des tours, mais j’ai comme l’impression, à première vue, que cet endroit n’est pas seulement réservé aux uniques participants des après-midi et soirées coquines de ce couple étonnant en tous points et qui ne cesse de me surprendre…
    
    J’entre le premier, suivi de Jean-Paul, Karine et Maurice. Brigitte pénètre la dernière dans la pièce, et referme la lourde porte derrière elle. Utilisant une télécommande prise auparavant sur une table ronde de la bibliothèque, la maîtresse des lieux fait plonger la pièce dans une obscurité presque totale à l’exception de la « tribune » qui reste éclairée par le faisceau diffus d’un très beau lustre contemporain en cristal ovale à la parfaite verticale de l’estrade. Simultanément, plusieurs petites appliques murales ...
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