1. À vos marques


    Datte: 29/12/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, piscine, sport, douche, amour, volupté, massage, pénétratio, init, mélo, Auteur: L-AqUaLoVeUsE-eRoTiQuE, Source: Revebebe

    ... première fois, tout ça elle le sait, elle en est consciente, jamais assez elle ne le remerciera.
    
    Mais, la chose qu’elle ne sait pas, c’est que pour la première fois, il la voit, cette jeune femme qui sort de l’eau lentement, sensuellement, au corps élancé, parfaitement proportionné, aux courbes généreuses. Cette jeune femme n’est plus cette adolescente de 17 ans qui trouvait des excuses pour ne pas venir s’entraîner. C’est la première fois qu’il la regarde vraiment comme une femme, avec son cœur, son âme, son corps, qu’il se sent l’homme capable de la séduire.
    
    Dans son repos, elle le voit lui sourire, lui parler, l’encourager, la féliciter, lorsqu’il la prend dans ses bras. Elle l’a toujours vu comme un entraîneur, mais pas cette fois. Dans son regard, dans son sourire, dans sa voix, il y avait quelque chose en plus, quelque chose de plus plaisant, de plus séducteur.
    
    « Finalement, il n’est pas si mal que ça, et puis huit ans d’écart, c’est pas énorme » s’entend-elle penser. C’est là sa dernière pensée et, sans qu’elle s’en aperçoive, Morphée l’emporte dans ses bras.
    
    Au bout d’une demi-heure, il arrive à la salle, les discussions avec les entraîneurs sont parfois interminables. Il frappe à la porte deux coups avant d’entrer, comme à son habitude, puis il la voit, là, allongée sur le lit de massage, il la contemple. Cette beauté au corps sportif et sensuel à la fois, cette nageuse vêtue d’une simple serviette de bain, l’attendant à demi-nue, elle l’attire, elle ...
    ... lui plaît, il la désire. Lentement, il s’approche d’elle, ne cessant de la regarder, d’admirer son corps de déesse. Revenant sur terre, il enduit ses mains de crème et entreprend de lui faire un massage, pour la détendre, la délasser de ces efforts.
    
    La douceur délicate de ses mains ainsi que la fermeté des caresses qu’il lui procure la fait brutalement émerger de son assoupissement. En un sursaut, elle se retourne sur le dos, de peur, de crainte, s’en s’apercevoir qu’elle est entièrement nue.
    
    — Eh doucement championne, ce n’est que moi, détends-toi !
    — Tu m’as fait peur ! Je me suis juste un peu endormie, réalise-t-elle.
    — J’ai bien vu ça, oui, déclara-t-il le sourire aux lèvres.
    
    « Et tu es si belle quand tu dors », ne peut-il s’empêcher de penser.
    
    Ce sourire, elle l’a vu tant de fois, mais pas comme maintenant, elle le trouve beau, séduisant. Son regard ne fait qu’augmenter ce sentiment d’apaisement, de confiance, après la peur qu’il lui a faite. Elle ne peut quitter des yeux ce sourire.
    
    « Mais qu’est-ce qui m’arrive ? » songe-t-elle.
    
    Son cœur s’emballe, des frissons la traversent, une chaleur au bas du ventre commence à naître. C’est lorsqu’elle sent sa poitrine durcir qu’elle se rend compte qu’elle est complètement nue sous les yeux de Frédéric.
    
    — Tu es magnifique, Florianne, déclare-t-il sans s’en rendre compte, d’une voix suave qui ne peut être plus sincère.
    
    Rouge de honte, mais touchée, elle se remet sur le ventre, cherchant à tout prix à éviter ...
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