Ma soeur Houda (2) - Histoires de Sexe

Ma soeur Houda (2)

Bien qu’au cours de la nuit précédente, nous avons eu notre première baise, on n’allait pas s’arrêter en si bon chemin. D’autant que Houda semblait en vouloir encore, loin d’être satisfaite. Une véritable vamp ! Nous avons donc convenu de remettre cela le lendemain à la même heure, toujours dans sa chambre.

Durant toute la journée, j’ai été dans un état fébrile. Mes copains de bureau ont remarqué la chose et André m’a posé la question de savoir ce qui m’arrivait. Rien d’important, je me sens juste nerveux. Je n’arrêtais pas de me remémorer les seins de ma sœur et sa bouche en train de me sucer goulûment, mais surtout les jets de sperme, presque grumeleux, que je lui ai envoyés dans la gorge et sa manière de l’avaler. Et aussi sa fente toute rouge du plaisir de l’excitation avec son clitoris pointant comme un dard que j’ai titillé du bout de ma langue un bon moment, lui valant des coulées de cyprine au goût enivrant. J’en ai bandé toute la journée.

Enfin, voilà, la fin de la journée arrivée. A la maison, je m’efforçais au calme pour n’éveiller aucun soupçon. Pendant le dîner, j’étais assis en face de ma sœur et, comme il fallait s’y attendre, elle n’a pas manqué jouer de son pied dont le gros orteil me caressait la queue coincée dans mon jean. Une vraie salope. Le dîner terminé, la table enlevée, je me suis mis devant la télé pour suivre un épisode de Stargate SG1. Houda était, quelque part, je ne sais où ; puis la voilà qui apparaît en jogging, ses seins marmoréens ...

... pointaient et je devinais qu’elle avait enlevé son soutif. Elle marchait lascivement en se dandinant légèrement de ses fesses généreuses. Du coup, ma bite fit un bond dans mon pantalon, cela devenait douloureux. Mes parents discutaient de je ne sais plus quoi, assis dans le fauteuil du salon. 22 heures, le moment pour mes parents de regagner leur chambre.

Dix minutes plus tard, voilà Houda qui revient de la cuisine

— Ils sont partis ?

— Oui, va dans ta chambre, je te rejoins dans quelques minutes.

Elle me fit une œillade digne d’une pute et monta l’escalier en tortillant son derrière pour m’aguicher. Un quart d’heure plus tard, je la rejoins dans la chambre. C’est tout simplement qu’elle était nue, assise sur son lit, une jambe soulevée, les bras derrière la tête pour mieux mettre en évidence ses superbes seins à la pointe rose. Le temps d’enlever mon pyjama, libérant ma hampe déjà turgescente, j’étais assis à son côté. Je la basculais sur l’oreille, ma main avait saisi son sein opulent pendant que je l’embrassais et que ma langue fouinait dans sa bouche. Je glissais une main entre ses cuisses en introduisant un doigt dans sa fente déjà bien imprégnée. Mon pouce lui caressait le clito. Elle haletait en se tortillant légèrement.

Sa main s’empara de ma bite et se mit à la masturber légèrement pour mieux apprécier sa dureté et sa grosseur. Je la redressais sur l’oreiller.

— Prends tes seins entre tes mains, lui dis-je.

Aussitôt, j’y plaçai ma queue en glissant ...