1. Astrid et Julia (5)


    Datte: 28/12/2018, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... Elle hurle encore. Cette fois l’objectif est atteint, le mandrin a disparu entièrement dans le vagin de Julia. Ils s’embrassent à bouche que veux-tu.
    
    Marc veut sa part. Deux options se présentent : sa bouche ou son cul ? Il choisit la voie la plus étroite. C’est le moment de vérité. Son corps, si jeune, va-t-il accepter l’intromission simultanée de ces deux sexes en elle ?
    
    Un coup de lubrifiant sur l’anus de Julia et hop ça y est, le dard de Marc s’engage dans l’étroit conduit, lentement. Elle respire un grand coup. Depuis sa défloration anale elle a appris comment faire pour éviter d’avoir mal. Il y est, tout au fond, et elle n’a pas crié. Les deux compères ont l’habitude. Dès qu’ils se sentent en contact, au travers de la fine membrane qui les sépare, ils accentuent leur pénétration et accélèrent leurs mouvements. Tantôt ensemble dans chacun des conduits, tantôt alternativement, Julia est secouée dans tous les sens du terme. Elle jouit plusieurs fois et en redemande encore et encore. Elle adore manifestement être doublement pénétrée.
    
    Je présente mon sexe devant sa bouche, elle l’avale et me pompe énergiquement.
    
    Nous décidons de changer de position. Marc s’allonge par terre, Julia positionne sa chatte sur son vit et s’enconne jusqu’aux couilles, dos à lui. Je me place devant elle et tente une double intromission vaginale. Malgré la dureté de ma queue, je glisse. J’écarte sa chatte avec mes doigts et je glisse mon gland dans l’espace libéré. Je force. Elle ...
    ... gueule disant que c’est insupportable. Je la bâillonne en forçant sa bouche avec ma langue. Elle répond vigoureusement à mon baiser. Ça la calme. Son vagin étroit de jeune fille est distendu par la pénétration monstrueuse que nous lui imposons. Marc ne peut pas bouger. J’impose le rythme. Je libère la bouche de Julia. Elle ne crie plus mais feule comme un animal. Elle articule quelques paroles, entrecoupées de soupir de contentement :
    
    — Bande de salauds... hum, hum... vous me faites jouir encore... hum, hum... Ma petite chatte en prend plein... hum, hum... C’est trop bon...
    
    De concert avec Julia, nous prenons notre pied au même moment en jutant dans sa foufoune.
    
    Je regarde la pendule de la cuisine. Il est trois heures du matin. Plus de six heures, hormis la pause, que nous tringlons Julia sans arrêt. La fatigue se fait sentir. Marc et Julien s’allongent sur les deux canapés pour prendre du repos. J’entraîne Julia vers ma chambre. Nous nous couchons nus, sur le côté, nos corps imbriqués l’un dans l’autre, en cuillère. Mon vit, amolli, se place naturellement dans la raie de ses fesses. Je nous couvre avec la couette.
    
    — Bonne nuit mon amour, lui dis-je en l’embrassant dans le cou.
    
    Elle ronronne et me réponds :
    
    — Tu sais Hervé tu m’as fait passer avec tes amis des moments inoubliables. J’ai souffert, parfois au-delà du supportable, mais j’ai aimé. Vous m’avez fait devenir une « femme désirable » au-delà de toute limite, de tout tabou. Je ne regrette pas de t’avoir ...
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