Cocu, vous avez dit cocu ?
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
cocus,
intermast,
facial,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
confession,
cocucont,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... plus que temps que je baise ta femme, elle était en manque et avait besoin de ma queue, tu n’assurais pas assez avec elle. Sa chatte me rend dingue.
— Je ne sais pas pourquoi, mais c’est vrai que je me comporte comme une pute aujourd’hui. Regarde mon mari, regarde-le, mon gentil cocu, tu vois comment il se branle en voyant comment tu me baises bien. Tu aurais dû me baiser depuis longtemps
Ma femme chérie me sourit tandis qu’elle offrait son ventre et sa bouche à son amant. La belle tendit sa main vers mon bas-ventre, se saisit de mes bourses et me tira vers elle. Elle cessa un moment d’embrasser son partenaire, et prit ma queue dans sa bouche. Je me délectai de cette caresse, et m’abandonnai à tant de douceur inespérée en fermant les yeux. La bouche avalait mon sexe, jouait avec mon gland, l’abandonnait, puis le reprenait en pompant plus fort, c’était délicieux et j’en oubliais que ma femme me faisait cocu en même temps.
Une main emprisonnait et malaxait mes testicules, une autre poussait mon ventre vers la bouche avide, et je sentais aussi un doigt, puis deux égarés dans mon anus à le fouiller en mimant délicieusement une sodomie. À dire vrai, j’étais bien et je m’en fichais. En rouvrant les yeux, j’eus l’énorme surprise de voir mon sexe dans la bouche de Philippe, il avait remplacé Maria, et je dois avouer qu’il me suçait aussi bien qu’elle. Il souriait, me regardait dans les yeux et je pus lire dans son regard qu’il n’avait pas l’intention de se contenter de me ...
... mettre ses doigts dans le cul, cela m’était égal, c’était trop bon. Puis les deux amants m’abandonnèrent une nouvelle fois, ils reprirent leur coït effréné, moi ma masturbation devant le spectacle. Philippe le Conquistador affirma :
— Ton mari a raison, tu as un con de reine, tous les mecs qui te passeront dessus te le diront. Et en plus maintenant on dirait que ça m’aspire. Comme si tu voulais me traire !
— Je ne le fais pas exprès. Mon vagin est comme une ventouse quand je suis très excitée. Il est temps de mettre le préservatif, non ?
— Non, attends encore un peu, je vais te baiser à ma manière, à cru et à vif jusqu’au dernier moment. En cas, je sortirais pour jouir dehors.
— Je te fais confiance, j’espère que tu sais ce que tu fais. Alors, prends-moi en sortant toute ta bite et en l’enfonçant d’un seul coup, j’adore ça.
— Comme ça ?
— Oh oui, comme ça, mon chéri, bourre-moi bien fort.
— Je ne te fais pas mal ?
— Au contraire, j’aime être violentée, mon con est fait pour ça.
— Ça te plaît on dirait.
— Continue, c’est trop bon.
— Je ne vais pas tenir longtemps comme ça, tu veux toujours que je mette une capote ou que je sorte ?
— Non, maintenant c’est trop tard, je n’en peux plus, tu laisses ta bite où elle est et tu continues comme ça, je m’en fiche de ta capote !
— J’ai bien fait d’attendre, je commence à te connaître maintenant.
— Tu es un gros salaud, tu sais.
— Je vais te baiser à cru jusqu’au bout puisque c’est toi qui me le demandes, je suis peut-être un ...