Cocu, vous avez dit cocu ? - Histoires de Sexe

Cocu, vous avez dit cocu ?

... raison. Il a suffi de gratter un peu le vernis et sa véritable nature de cochonne est remontée à la surface.
— Et vous, vous êtes deux mâles en rut ! Il suffit de vous sucer un peu pour vous faire bander comme des ânes. Regardez vos bites, elles sont déjà dures.
— Avec toi, même un mort ne débanderait pas de la journée.
— Vous savez que vos queues ont un goût différent ?
— C’est très bien comme ça, tu pourras nous reconnaître rien qu’en nous suçant.
— Vous savez quoi, je veux une grosse bite dans la chatte tout de suite.
— Je vois que ça t’a excitée de te faire enculer.
— Bernard mon amour, ne le prends pas mal, mais c’est Philippe qui va me baiser.
— Vas-y si tu préfères sa queue à la mienne.
— Non, ne sois pas vexé, c’est juste que je préfère que ce soit lui qui me baise aujourd’hui. Je suis ta femme et je t’aime, mais aujourd’hui je veux que ce soit Philippe, je veux être la maîtresse de mon amant plutôt que la femme de mon mari.
— Sa pute, oui !
— Sa pute, si tu veux. Ce matin j’étais ta femme, cet après-midi je suis une pute et j’adore ça, je suis une pute heureuse de l’être.
— La pute de Philippe !
— Bien sûr, je suis la pute de Philippe, j’ai envie qu’il me baise tant qu’il en a envie, j’ai envie qu’il soit sur les rotules en partant, j’ai envie qu’il dise à tous vos copains que je suis une des plus meilleures salopes qu’il ait baisée.
— Tu crois que nous avons besoin de ça, une réputation de pute pour toi et de cocu pour moi ? Philippe sait que tu es ...

... une salope, forcément puisque tu lui as vidé les couilles tout l’après-midi, mais je n’ai pas besoin que tout le monde le sache, ça non, merci.
— Pas tout le monde, juste Philippe, toi et moi. J’ai envie de lui donner tout ce qu’il veut, et tant qu’il veut.
— Il en a déjà eu beaucoup.
— Tu dis ça parce que je lui ai donné mon petit trou ? C’est tout ce qu’il a eu de plus que toi.
— Il t’a baisée par la bouche, par le cul et par le con, qu’est-ce qu’il peut te faire de plus ?
— Ce qu’il veut, je suis sa pute, il dispose de moi comme il veut.
— Ça veut dire que s’il t’offrait à ses potes, tu les laisserais te passer dessus sans rechigner ?
— Pourquoi pas ? Sauf qu’une vraie pute se ferait payer tandis que moi je le ferais mieux et gratis. Mais la question ne se pose pas puisqu’il n’y a personne d’autre. Heureusement, sans quoi je te promets que je le faisais ! Demain, je ne sais pas, mais aujourd’hui, je suis prête à tout.
— Alors, il n’y en a que pour lui ?
— Ne pleure pas, je vais m’occuper de toi pendant qu’il me baise et tu vas encore pouvoir faire le voyeur. Viens, Philippe, mets vite une capote et prends-moi.
— Et si on faisait ça comme tout à l’heure, sans capote pour commencer ? Après je sortirais ou j’en mettrai une si tu y tiens.
— Tu sais que j’aime la queue nature et tu en profites, hein ! Bon, moi je veux bien, mais il faut demander à mon mari, il est concerné aussi. Bernard, tu es d’accord ?
— C’est toi qui décides, c’est ta chatte qu’il va baiser.
— ...