Songes ferroviaires
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
fh,
grp,
couple,
extracon,
amour,
fsoumise,
jalousie,
cérébral,
revede,
noculotte,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
exercice,
portrait,
Auteur: Pascal De, Source: Revebebe
... Mais c’était une pécheresse bien troublante, et terriblement désirable. Il arriva près d’elle, et, sans un mot, passa sa main sous la courte jupe. Immédiatement, afin de lui faciliter son inspection, elle prit appui sur la table et se cambra en relevant ses jambes déjà écartées dans une posture superbe et impudique. Sa main rencontra la peau nue, et ce contact inattendu l’électrisa. Il eut un mouvement de recul comme sous l’effet d’une brûlure. Elle n’a même pas cru bon de remettre sa petite culotte après… pensa-t-il. Sadique, il explora ses chairs, méthodiquement, comme au cours d’un examen médical, mais ces moiteurs portant encore l’empreinte de l’autre le troublaient plus qu’il ne voulait le laisser paraître.
Il ne pouvait retirer sa main de la vulve souillée de cette salope qui venait de se faire trousser une partie de l’après-midi et il se sentait complètement dépassé par les événements. Qu’elle le trompe était une chose, mais se prêter nonchalamment à cette vérification semblait vouloir dire « regarde comme je me suis bien fait baiser, bien inonder la chatte » c’était obscène. Il fut soudain tiré de ses pensées par les soupirs enamourés de sa compagne. Profitant de son absence, ses doigts, oubliant leur rôle purement anatomique, s’étaient faits plus câlins, plus tendres aussi et tiraient de ce coquillage, à nouveau ouvert, une substance utile à leurs investigations.« Elle a le feu au cul et moi je suis cocu et je bande » eut-il le temps de penser avant de l’empoigner ...
... sauvagement et de la traîner vers le salon où il la jeta sur le tapis. Ils s’aimèrent ce soir-là, brutalement, passionnément, fougueusement. Il humait, malgré lui, les effluves qui montaient de son corps, cette senteur particulière, l’odeur du coït, du rut.
La coquine s’en étant aperçu, s’empressa de donner satisfaction à son homme en se laissant renifler le cul comme une chienne et, emporté par un désir honteux, il se prêta à cette torture mentale, trouvant là, des exhalaisons de mouille et de foutre mêlées, giclé là par une bite de passage. C’est en léchant copieusement cette cicatrice impure qu’il lui donna son premier orgasme de la soirée et ce fut loin d’être le dernier. Quelques minutes plus tard, la bouche contre le sol, elle suffoquait de plaisir en lacérant le tapis de ses ongles.
Puis, la vie reprit son cours, plus intense, rythmée par une frénésie érotique renaissante qui les prenait à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, quel que soit le lieu où ils se trouvaient. Leur secret les liait, immoralement, dans une complicité durable et silencieuse.
Car, jamais une parole d’explication ou de justification ne vint troubler la quiétude de leurs rapports, ils se méfiaient trop des mots. Jetés à la sauvette sous le couvert d’une confidence, leur pauvreté, en matière de sexe et d’amour pouvait très bien indiquer un sens autre que celui exprimé. Le regard, lui, ne trompait pas.
Ainsi pratiquée, cette nouvelle coutume leur devint indispensable au point de ...