1. J'offre ma femme à notre fils (4)


    Datte: 28/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: valeriane, Source: Xstory

    ... aussi !
    
    Elle sourit en me regardant.
    
    Elle saisit la bite large et épaisse, et la dirige contre sa vulve dégoulinante de sperme et de cyprine mêlée.
    
    Elle descend et s’empale jusqu’aux couilles en poussant un AH ! de bonheur.
    
    Je monte sur le lit, et frotte ma bite veineuse gorgée de sang contre l’anneau ridé.
    
    Je donne un violent coup de reins, et m’enfonce dans la gaine étroite sans l’avoir préparée.
    
    Ma femme sursaute :
    
    — Oui oui, tous les deux défoncez-moi, remplissez-moi de votre semence, je suis votre chose !
    
    Le bites s’activent férocement en elle, les assauts sont terribles, les couilles frappent les orifices gourmands.
    
    Ma femme, à chaque enfoncement de ma queue en elle, donne un coup de cul pour que je l’empale bien à fond, ses râles sont terribles.
    
    — Oui oui, plus fort oh oh aaaah !
    
    Je sens à travers la fine paroi qui sépare les deux orifices la queue de mon fils qui coulisse contre la mienne; c’est une sensation merveilleuse, ma bite grossit ...
    ... davantage.
    
    Le ramonage en alternance agit comme deux pistons, ils dilatent les gaines de chair pour le plus grand plaisir de ma femme.
    
    Elle pousse des grognements rauques, le pilonnage est sévère, les coups de reins violents.
    
    Elle s’arc-boute, se bloque et hurle en jouissant, sa cyprine gicle sur les couilles de Ryan qui s’accroche aux hanches de sa maman.
    
    C’est à tour de rôle que nous jouissons dans les orifices insatiables.
    
    Enfin, je me retire du fondement, Ryan reste encore planté dans le corps de sa maman qui reste blottie contre lui.
    
    Leurs lèvres se joignent pour un baiser interminable, j’en profite pour caresser les courbes parfaites de mon épouse.
    
    Mes doigts s’attardent sur l’orifice que je viens de quitter, ils s’enfoncent un à un dans la caverne et la fouille profondément.
    
    Mon fils joint ses doigts aux miens, ils tournent dans la gaine distendue.
    
    Ma femme délaisse les lèvres de Ryan et murmure :
    
    — Mon Dieu comme c’est bon ! Je veux mourir de jouissance, mes chéris ! 
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