1. Une réputation à tenir qui va les détruire (2)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Auteur: bdsmvar, Source: xHamster

    Sans même s’en rendre compte Jean s’assit sur une chaise, au coin de la pièce. Prenant soin de ne pas quitter Marie du regard. Il le fit machinalement, d’ailleurs personne ne remarqua quoi que ce soit à son propos. C’est comme si à cet instant, il devenait invisible, inexistant.
    
    Les quatre prédateurs étant trop occupés à ne rien rater de cet effeuillage forcé, Marie, elle, se concentra pour ne pas penser. Faire en sorte que ce moment passe le plus vite possible, sans même encore imaginer l’après, le simple fait de se dénuder et offrir la vue de son corps nu à des inconnus la terrifiait.
    
    Après avoir retiré son pull, elle continua avec ses chaussures, ses chaussettes puis son pantalon. Alors qu’elle posait les mains pour retirer son soutien-gorge, un des hommes s’approcha d’elle.
    
    "Doucement ma belle, on a toute la nuit pour s’amuser ne vas pas trop vite, laisse-nous tâter la marchandise qu’on voit si ça vaut le coup qu’on vous octroie ces privilèges déjà »
    
    Tête baissée vers le sol, elle laissa sans réponse son interlocuteur, préférant ne rien ressentir de tout ce qui se passait. De l’extérieur, on aurait dit une poupée sans vie. Ce qui apparemment ne posa pas de problèmes aux protagonistes présents.
    
    Au moment où l’homme qui lui parlait s’approcha d’elle pour poser les mains sur ses hanches, Jean ne pouvant contenir sa colère se leva brutalement de sa chaise, cherchant à lui bondir dessus, pour mettre fin à tout ça.
    
    Il fut stoppé net par l’un d’eux, qui le ...
    ... saisit avec son poing par le col. Il regarda Jean, les yeux plein de colère, et pourtant un grand sourire aux lèvres.
    
    — Tu joues à quoi connard ! N’oublie pas qu’on t’a forcé à rien, vous êtes ici par votre propre volonté, et ce qui va se passer vous le voulez. Alors soit tu poses ton cul sur la chaise, tu fermes ta gueule et t’admires le spectacle, soit tu prends ta pute, vous dégagez et vous passez le reste de l’année comme des moins que rien sans honneur ni fierté rejetés par leurs familles.
    
    Jean avait beau savoir ça, ne pouvant contenir sa colère, il jeta un coup d’œil vers Marie. Elle releva la tête, les yeux mouillés :
    
    « Assis toi, ne rends pas les choses plus difficiles s’il te plaît ». Avant de baisser à nouveau la tête vers le sol, pour replonger dans son état léthargique.
    
    Les quatre mecs, passant leurs mains partout sur son corps. Très vite, ils ne se retinrent plus, commençant par quelques fessées, puis des petites claques sur la chatte, avant de littéralement lui arracher ses sous-vêtements.
    
    Marc, le leader du petit groupe, et de la confrérie, appuya sur la tête de Marie, la mettant à genoux face à sa queue à demi dressée. Il posa son gland à l’entrée de sa bouche.
    
    — Voilà enfin le moment fatidique, à toi de nous prouver ton savoir-faire, ta générosité et surtout ta dévotion envers nos fraternités. Mais j’ai confiance en toi, je suis sûr que tu sais y faire.
    
    Ils éclatèrent de rire. Maire n’y prêta pas attention. Mécaniquement, elle commença à ...
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