1. Soumise, sinon rien. (8)


    Datte: 14/02/2018, Catégories: Erotique, Auteur: xicemanx, Source: Xstory

    ... langue dans la chatte de Steph pour y récupérer tout le sperme.
    
    Je profitai du moment pour récupérer le plug de la bouche de Steph pour le lui réintroduire dans le cul.
    
    Stéph avait l’air vannée. Fabienne me montra tout le jus qu’elle avait dans la bouche et des yeux me montra Stéph. J’acquiesçais.
    
    — Evidemment. Elle le sait. Steph, assieds-toi, tête en arrière et ouvre la bouche.
    
    Ce qu’elle fit. Elle savait.
    
    Fabienne approcha sa bouche de la sienne et lui déversa tout son contenu... elle y ajouta un petit crachat et gentiment lui fermât la bouche avec sa main.
    
    — Allez, vas-y, régale-toi.
    
    Une fois encore, elle nous regarda fièrement et sans sourciller avala le contenu de sa bouche. Suite à quoi, elle ouvrit la bouche et tira la langue pour nous montrer qu’elle avait bien avalé.
    
    — C’est bien Stéph. Une bonne petite chienne, bien obéissante. C’est très bien. Mais maintenant, il commence à se faire tard. Donc petite douche et dodo.
    
    — Fabien, je dors ou ce soir ? Avec toi ?
    
    — Fabienne, tu fais quoi toi ? Tu ...
    ... rentres chez toi ou tu dors ici ?
    
    — Vu l’heure, je vais rester ici. Je dors avec toi.
    
    — OK. Donc, Steph, tu dors dans ta chambre. Par contre, pour éviter que tu ne te masturbes cette nuit, je vais te menotter les mains dans le dos. Ca t’évitera toutes tentations.
    
    — Oui Fabien.
    
    — Et n’oublie pas. Demain matin, qu’est-ce que tu dois faire ?
    
    — A ton réveil, venir te sucer.
    
    — Très bien. Tu apprends vite.
    
    — Allez, file à la douche et après, je viens te menotter. Tu as 10 minutes.
    
    — Je fais vite.
    
    Je profitai pour en faire de même. 10 minutes après, en ressortant de la salle de bain, je vins menotter Steph, qui m’attendait dans son lit.
    
    — Quand tu m’attends, ce n’est pas la position. On corrigera ça demain. En attendant, donne-moi tes mains dans le dos.
    
    Clic-Clic. Les menottes étaient mises. Je la couvrais d’un drap et l’embrassa. En me relevant, je lui fis une bise sur son crâne.
    
    — Merci ! me dit-elle.
    
    J’éteignis la lumière, ferma la porte et rentrai alors dans ma chambre ou Fabienne, nue, m’attendait. 
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